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Je peux faire quelque chose pour vous ? Oh, mon mari veut vous voir. Comment est-ce arrivé, vous et Hoag ? Nous étions en route pour nous marier à Wichita. La diligence est sortie de la route et s’est écrasée. Ça lui a brisé le dos. Et vous l’avez quand même épousé ? Vous n’avez pas l’air d’une femme qui piège un homme. Je ne le suis pas. Eh bien, de toute façon, les dames d’abord. Sabin, il y a un homme qui fait du chambard ici. Que voulez que je fasse ? Que vous remettiez de l’ordre. La ville vous paye pour ça. Oh Fanny, où étais-tu, Fanny ? N’allez-vous pas l’arrêter Sabin ? Regardez ça, vous voyez qu’il est ivre et cause des ennuis. Salut, marshal. Je ne suis pas marshal. Allons, fais-le sortir d’ici Sabin, nettoyez la ville. Dites leur, marshal. Hé toi, derrière ce bar, toi. Hé Fanny, c’est un bon tir. Ce n’est pas un homme de loi. Allons Sabin, maintiens l’ordre. Dites leur marshal Dipper, allez. Sors d’ici. Dipper, redresse-toi. Allons. Petite Fanny, oups Regarde, tu me fais agir comme un homme de loi. Allez, vieil imbécile. Ça sent le roussi, allons, à la maison. Allonge-toi, et arrête ! Oh Fanny. Bonjour Fanny. Oh, douce Fanny. Tu sais, c’est un beau jour. La prison n’est pas un bon foyer si tu verrouilles la porte. Dessaoule. Au petit, matin, tu iras à Irontown voir ce marshal. Bonjour, señor. Bonjour. Vous allez loin ? Irontown. Vous allez loin ? Non, pas trop loin, Purgatory. Hé, sûr que c’est une belle journée pour voyager. Belle journée pour être en vie. Une gorgée ? Merci, non. Boire pendant la journée me fait dormir. Aujourd’hui, je tiens à rester bien éveillé. Salut l’ami. Au revoir. Marshal Becker. Entrez ! Bonjour, señor. Eh bien, Quijano, entre. C’est mon invitation, señor ? Mille dollars. Attends, tu es bien sûr de pouvoir t’en occuper ? Je ne suis pas venu d’aussi loin, señor, pour vous dire non. Bien. Tu ferais mieux d’attendre jusqu’à ce soir. Sabin vient ici tous les soirs. Señor, la pancarte à l’entrée de la ville, je ne lis pas l’anglais. Que dit-elle ? Cette pancarte dit « Quand vous entrez à Purgatory, dites au-revoir à Dieu. » Au-revoir, Dieu. Qu’est-ce que tu dis ? C’est peut être mon jour de malchance. Je j’ai perdu quelque chose. Qu’est-ce que tu as perdu ? Une croix et une chaîne en argent. Oh, c’est dommage, Quijano. Désolé. Hé marshal Le marshal Becker est mort. Je suppose qu’il faut oublier l’action en justice contre Hoag. Nous devrons nous en occuper seuls. Ça veut dire quoi, nous ? Je suis pas adjoint ! De la graisse pour les gonds. Hé Elmer, tu sais où on peut trouver de la graisse ? Au Babylon. Je suis pas bienvenu là-bas. Et si on allait au Nugget ? Viens, Lee. Je suis Mary Hoag. J’aimerais vous parler. Vous, sa femme ? Mais vous êtes si belle. Je veux que vous partiez. Je vais vous donner l’argent. Prenez-le et partez. Vous pensez que je tue un homme juste pour l’argent, señora ? Alors pourquoi êtes-vous venu ici ? Autrefois j’étais plein de fierté un homme m’a battu comme un chien. Pour lui, j’étais, le rebut de la terre, Il était ce qu’on appelle un nettoyeur de ville. Mais vous n’avez rien rien contre Sabin. Je n’ai jamais entendu parler de Sabin. Mais j’entends encore le son du fouet. Donne-moi une bière. Red je te cherchais. Je veux que tu me plies des fers, je veux installer des étagères et une couchette. Jouez-moi un air mexicain, señor. Hoag Renvoyez-le chez lui avant qu’il ne soit trop tard. Au revoir, Dieu. Sabin, je vous paye un verre ? Allez tous, les boissons sont pour moi. Je vais payer les boissons. Donne-moi du whisky. Numéro trois, Johnny Naco. C’est le truc de Johnny Naco, il a tendance à être paresseux, négligent et lent. Vous faites pension pour la nuit ? Bien sûr. C’est loin Purgatory ? Irontown est en premier. Numéro quatre, on l’appelait, Farmer Brown. Il avait l’habitude de jouer sur Larimer Street à Denver. Il n’a jamais porté d’arme à feu, il n’en avait jamais eu besoin jusqu’à ce qu’un jour un jeune vaurien lui tire au visage. Il est devenu un tueur, c’est un rapide ! Bonjour. Bonjour, quel est le prix de la pension ? Un dollar. On dirait que vous avez un client pour votre atelier de forgeron. Ouais, ce type a l’air méchant, hein ? On dirait qu’il a perdu un fer. Je parle du cavalier. J’ai entendu dire que vous êtes un tireur rapide, monsieur. Qui est-ce ? Zodie Dawes. Je pense que je vais y aller. Vas-y, bouge. Maintenant regarde Zodie, Je dois travailler pour gagner ma vie. Ça ne me laisse pas le temps d’être un tireur rapide, hein ? Je suppose que non. Maintenant écoute, je suis pressé. Je dois aller à Purgatory. Si vous êtes si rapide, vous arriverez à l’heure, pas vrai ? Vous ne répondez pas aux gens ? Maintenant écoute, Zodie. Appelle-moi monsieur. Bien sûr, monsieur. Pouvez-vous dégager, étranger ? Pourquoi ne pas montrer à l’étranger comment vous êtes rapide ? Maintenant, écoutez monsieur, je dois y aller. Je suis déjà en retard, je suis un terrible traînard. Je devrais être à Purgatory monsieur. Maintenant, écoutez, s’il vous plaît. Allez c’est bon, au revoir. Mon cheval a perdu un fer, répare-ça. Salut, Fanny. Sabin est-il là ? Il sera de retour bientôt.