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! Les autres n’aimeront pas ça. Et vous ? Je ne suis qu’à moitié espagnol. Et à moitié cochon.  »Cochon » ? Porc ! Que faites-vous là ? Du pisé, colonel. Du pisé ? Fascinant, ce fumet de fromage antique. On en fait des briques. Des briques ? Je regrette tant la poterie de mon enfance. Colonel, vous ne pouvez pas. Amusons-nous un peu. Vous ne devriez pas. Ne me dites pas que faire. Au fait, Rill vous cherche. Où est-elle ? En quête de quelque bêtise. Partez donc à sa recherche. Aidez-moi, vous autres ! Qu’attendez-vous ? Vous me cherchiez ? Non. C’est ce que m’a dit le colonel. Ne partez pas. En effet, j’ai à vous parler. Vous m’évitez, depuis deux semaines. Vous m’en voulez toujours ? Non. Alors ? Vous êtes une femme. Une femme fortunée. Je ne suis qu’un cow-boy sans le sou. En quoi cela change-t-il nos rapports ? Ce n’est pas à moi de vous l’expliquer. Vous permettez ? Où allez-vous ? J’ai une clôture à réparer. Moi aussi. Je viens. Qui vous le demande ? Je vous en informe. Trop dangereux. Restez ici. Vous êtes incorrigible. J’aurais pu vous abattre. Vous vous moquez. Vous croyez ? Rentrez au ranch. La piste est dangereuse. Très bien, suivez-moi. Aidez-moi à descendre. Je me préférais en garçon. Pas vous ? J’aurais du mal à l’affirmer. Vos réprimandes me manquent. Comme ce  »petit » dont vous m’affubliez. Vous savez ce que j’appelle réparer une clôture ? J’ai ma petite idée. A moi aussi, il m’arrive de m’énerver un peu vite. Appelez-moi Rill, au moins. Facile, Rill. Ça rime. Pecos, vous êtes touché ? Tirez sans jamais lever la tête. Bienvenue, cavaliers ! Les vaqueros ! Rill, vous êtes blessée ? Arrêtez, vous me faites mal ! Allez-vous grandir un jour ? J’ai eu si peur, j’ai failli m’évanouir. C’était tout comme. Vous savez comme je suis poltronne. Vous avez voulu me faire peur, rien d’autre. Vous avez eu Non. Satanés vaqueros. Laissons tomber. Jack, file à Fort Horn et fais venir le marshal à Glendon. Les autorités fédérales ? La milice n’est pas légale. Le marshal, c’est la loi. Obtiens-nous un mandat. Je risque gros. Je te sauve la mise en te débarrassant de Pecos. Et s’il témoigne contre nous ? En ville, tout peut arriver. Alfredo, aide-moi à descendre. Clyde. Rill ! Surprise ! J’attendais tes lettres ! Me voici enfin, l’avenir nous sourit. Clyde Corbin, Pecos Smith. Enchanté. M. Corbin est mon avocat. Vous imaginiez un vieux débris ? Entre donc. ll va nous débarrasser de cette milice. Manuel, organisez-nous une sorte de fandango, une fiesta pour le fiancé de ma fille. Bien, señor. Une fête, amigo ! Je retrouve la gaieté de Paris. En bien mieux. Qu’avez-vous ici qu’on ne trouve en France ? Moi, Chito Gonzáles José Bustamente Rafferty. Merci. Où est Pecos ? Je ne l’ai pas vu. Trouvez-le, voulez-vous ? Comme tu voudras. Quelle fête ! Fiesta. M. Corbin. Qu’est-ce que c’est ? Des cascarones. On dirait des œufs. Vous verrez. A la prochaine danse, lancez-le sur celle que vous aimez. ll doit l’atteindre et se casser. Alors, vous pourrez danser. C’est une tradition espagnole. Vous avez intérêt à bien viser. Chito Rafferty ne manque jamais sa cible. Pecos, rejoignez donc nos jeunes amis. J’ai dit à M. Corbin ce qu’il doit savoir sur le gang Sawtelle. ll est temps pour moi de me remettre en selle. Et de partir vite et loin. Les adieux ne seront pas faciles. Non que j’aie cru en mes chances, mais le cœur a ses raisons. Je comprends, Pecos. J’étais très épris de sa mère. J’ai d’ailleurs bien failli fuir mon bonheur. J’ai choisi de rester et de m’ouvrir à elle. Avec succès. Ne cachez pas vos sentiments à une femme que vous aimez. Même au risque de perdre. Allons voir ce qui se passe dehors. Silence, por favor. L’heure est venue de lancer vos cascarones. Prenez place, chers amis. Attention Préparez-vous. Lancez ! Je suis si heureuse. Et je suis loin d’être triste. Je t’apprendrai, bourreau des cœurs ! Arrêtez la musique. Colonel Lambeth ? Exact, marshal. Navré d’interrompre la fête. J’ai un mandat pour Pecos Smith. Je suis Smith. Clyde, fais quelque chose. Montrez-moi ça, Pecos. M. Corbin est mon avocat. Voyez vous-même, M. Corbin.  »Pour le meurtre de Tex Evans et l’attaque d’une diligence. » C’est signé par Jefferson Slinger. Pecos n’a pas tué Tex ! C’était mon ami. Sawtelle l’a tué, il veut me Pas un mot, laissez-moi faire. ll se présentera demain au tribunal, je m’en porte garant. Je ne sais pas, je suis censé l’emmener Dois-je invoquer l’habeas corpus ? Votre parole et la réputation du colonel me suffisent. Merci, marshal. A demain, au tribunal. Suivez-moi, Pecos. Tex vous a remis de l’argent ? ll m’en devait. Je confirme. Tex vous le dirait. ll est mort, hélas. L’affaire est mal partie. Si je savais ce que va dire ce Slinger On peut vous le trouver. Facile. En route, Pecos. En douceur, je le veux entier. ll sera ici avant l’aube. Où va-t-il ? ll sera de retour avant l’aube. Merci, Clyde. Brad, le marshal est de retour. Sans Pecos. ll y a pire. L’avocat de Lambeth s’apprête à le défendre. Et alors ? Et s’il m’appelle à la barre ? On finira tous en prison, ou pire. Tu as voulu ce marshal. Je fais quoi, maintenant ? Calme-toi. Tiens-t’en à ta version. Allons, bois un verre. Ensuite, reste chez toi jusqu’à demain. Tu sais quoi faire après mon départ. A l’aide ! C’est Pecos, aidez-moi ! Nos chevaux ont disparu. Slinger ne doit pas parler. Filons au ranch. Je ne sais rien, je vous dis. Le parjure se paie cher. J’ignore ce que c’est. Vous l’apprendrez vite. Un complice de hold-up finit pendu. Vous y échapperez en disant la vérité au juge. J’ai juste averti les Sawtelle de ce transport de fonds. Ils m’auraient tué, sans cela. Faites une déposition et signez-la. Ça sent le roussi. Cachez-vous avec Rill. Foi de Lambeth, s’ils veulent des ennuis, je suis là. Où est mon fusil ? Que voulez-vous ? Rien qui vous regarde. Livrez-nous Slinger et Pecos Smith. Ou nous venons les chercher. Vous n’êtes pas la loi. Je les remettrai aux autorités. Joli coup. J’aimerais que mon médecin voie ça. Continuez de tirer, je les prends à revers. Emmenez-les, messieurs. Père, plus personne ne tire. Nom de nom ! Je commençais juste à m’amuser. Je vous souhaite un bon retour à Chicago,