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Fun Radio 91.8 FM Saint-Quentin

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J’ai besoin de quelque chose. Si j’étais toi, je raccrocherais. La police localise l’appel. Il a raccroché. J’ai cru entendre de la musique. Pas vrai ? Ce n’est pas rendre service à votre mari. Errer seul n’est déjà pas une partie de plaisir, mais dès que le tueur lira dans la presse qu’il n’est pas mort, Frank aura des hommes armés à ses trousses. Vous auriez voulu lui nuire, vous n’auriez pas fait mieux. S’il s’enfuit, c’est son affaire. La vôtre aussi, Mme Johnson. Nous nous reverrons. Pas étonnant que le monde soit plein de célibataires. Il faut la cuisiner un peu. Ne la lâche pas. Elle se fiche de son mari. Les femmes sont curieuses. Elle ira le chercher. Soyez sympa. Qui dirige l’enquête ? L’inspecteur Ferris. C’est un ami. C’est vrai ? On le connaît bien. Qu’est-ce qui se passe ? Rien. Et cette Mme Johnson ? Et le témoin ? Quel témoin ? Arrêtez. C’est déjà à l’imprimerie. Il a vu l’assassin ? Et sa femme ? C’est du croustillant ? Laissez tomber les ragots salaces. Je ferai une déclaration demain. Salut, Homer. Pas de traitement de faveur. Bonsoir. Vous sortez ou vous entrez ? Vous êtes de la police ? Souriez ! Journaliste. Il ne manquait plus que ça. Ne prenez pas cet air. Lâchez-moi et poussez-vous ! Vous comptez me laisser suspendue dans le vide ? Vous avez dit Jeux Je m’en fiche ! Aidez-moi. Avec plaisir, Mme J. Vous êtes bien Mme Johnson ? Non, je suis la bonne et je prends ma soirée. Nous étions des étrangers et vous voici dans mes bras. Un vrai coup de foudre. Comment avez-vous échappé à la police ? J’aurai mon article ? Si je sors d’ici. Par ici, madame. La moitié de la police a été réquisitionnée. Par là ? Regardez devant, comme à votre mariage. Au fait, je m’appelle Legget. J’écris dans un journal qui raffole des histoires sordides et Jeux Vous désirez ? Un gin, avec glace. Avec glace ? Merci, Mme Johnson. Ravi de me joindre à vous. Vous croyiez me semer aussi facilement que la police ? Détrompez-vous. J’étais pompier, dans ma jeunesse. Fichez-moi la paix. Et mon article ? Vous l’aurez par Frank, quand il sera sain et sauf. Il ne le sera pas. Regardez ce pauvre Joe Gordon. Vous désirez quelque chose ? Un bourbon. Pourquoi êtes-vous là, si je puis me permettre ? J’aime cet endroit. Vous ne chercheriez pas votre mari ? Ou est-ce une supposition alambiquée ? Supposition ? La presse n’aime pas les mots de quatre syllabes. Où est-il ? Je l’ignore. A-t-il vu le tueur ? On danse ? Plutôt mourir. Vous devriez être gentille avec moi. Je vous aiderai peut-être. Je ne suis pas un mauvais bougre. Un peu pédant, mais agréable. Répondez oui ou non. Votre mari a pris la clé des champs ? Oui. Et il vous attend ici ? Aucune idée. Je suis venue à tout hasard. Quand il a appelé, j’ai reconnu la musique du club. Vous mangez ? Non, merci. Allez-y. Non, vraiment. J’ai une proposition. On trouve votre mari et mon journal vous paie pour h d’exclusivité. Vous essayez déjà de m’acheter ? Pour commencer. Ensuite, j’essaierai de vous conquérir. N’est-ce pas l’inverse ? Je suis retors. Après réflexion, je vous trouve séduisante. Autant vous conquérir. Je préfère qu’on m’achète. C’est très vénal. J’aime les femmes vénales. Vous me paierez vraiment ? Combien ? , peut-être. Ça vaut si cher ? Il faudra bien. Frank en aura bien besoin. Vous les aurez. Où et quand ? Vous attendrez mon accord ? Parole de scout. Marché conclu. On trinque ? À la fin imminente de nos problèmes. Les vôtres et les miens. Vous avez des problèmes ? Rien d’insoluble, avec vous à mes côtés. Bonsoir. Bonsoir, Sammy. M. Legget, du Graphic. Un journaliste ? Venez voir notre spectacle. Suzie et moi avons un nouveau numéro. Chung et Okito. Ça s’écrit C-H-U-N-G. « Okito », c’est facile. On a bien besoin d’un peu de publicité. Je verrai ce que je peux faire. Merci. Venez à minuit, quand la fête bat son plein. À bientôt. Je vais rentrer. Frank ne viendra pas. Comment le savez-vous ? Je le sais. Que direz-vous à votre mari ? De se rendre. Je ferai peut-être la même chose. Attendez-moi. Vous passez par le toit ? Non, par la porte. Ça les fera réfléchir. Je m’en vais. Ça leur donnerait trop à réfléchir. Si besoin, je vous contacterai. Ce ne sera pas nécessaire. Je ne serai pas loin. Bonne nuit, M. Legget. Que voulez-vous ? Vous êtes maligne. Mais la prochaine fois, vous aurez des ennuis. J’ai du nouveau. J’ai vu le médecin de votre mari. Vous êtes souffrant ? Votre mari n’est pas hypocondriaque. Il est très malade. Il est cardiaque. Je ne vous crois pas. Demandez au Dr Hohler. Frank ne m’a jamais rien dit. Il a cru que vous ne seriez pas intéressée. Il achètera des médicaments ailleurs. Pas sans ordonnance. J’ai prévenu tous les pharmaciens. Ils ne vendront ce traitement qu’avec mon autorisation. S’il fait une attaque, vous savez ce que ça signifie. C’est odieux ! Si c’est le seul moyen, je n’hésiterai pas. Frank n’a rien fait de mal. Si. Il s’est trouvé au mauvais endroit. La police est censée protéger les gens. Mon manuel de l’inspecteur prône le bien de la majorité. Et pour le bien de la majorité, Frank doit témoigner. S’il se rend, on le soignera et on le protégera. Et s’il refuse ? Un infarctus ou une balle de Freeman l’attend. Je n’en crois pas un mot. Vous voulez me faire peur. Je vous ai assez vu. Allez-vous-en ! Je ne vous empêcherai pas de le chercher. Mais vous ne le trouverez pas. Ce n’est pas nous qu’il fuit. C’est vous. Sortez ! J’enfreins la loi en vous donnant cette dose supplémentaire. Mais je ne me sens pas coupable. Merci, docteur. Après les événements d’hier, votre mari a sûrement bu les ampoules qu’il avait sur lui. Je n’agis pas par gentillesse, mais par réticence à jouer avec la vie d’un homme. C’est si grave, docteur ? Frank n’est pas plus en danger que tous ces hommes qui épuisent leur cœur à courir, convaincus d’entretenir leur forme physique. Si ce n’était que son cœur, cela irait. Comment cela ? Depuis un an, il a de l’hypertension, ce qui complique les choses. De l’hypertension ? Pourquoi ? Je ne sais pas. Peut-être le surmenage, le mal-être, l’anxiété Jeux Vous le savez mieux que moi. Pourquoi ? Je ne suis que son médecin. Vous êtes sa femme. Je suis cette femme