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Radio Classique 107.9 FM Albi

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Radio Classique 107.9 FM Albi
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Radio Classique 107.9 FM Albi Écouter

Radio Classique 107.9 FM Albi en ligne écouter en direct Radios françaises La qualité et la diffusion en continu.

Radio Dans ta poche intérieure. Ah oui. Dans la poche intérieure, le billet de train. Pompon, quand il est parti, il est parti. Voilà. Tu ne pars qu’une semaine. Oui, mais Radio une semaine, c’est une semaine. Bon. Ben, alors Radio Fais attention à toi. Il faut y aller. Pompon, c’est là. Ah, c’est là ? Je ne l’avais pas vu. Il est parti, le Pompon. Thank you. Tout va bien se passer. Il faut monter. Le train, quand il est parti, il est parti. Je te le dis. Salut, les amis. Bon voyage, Pompon. Bon voyage, Pompon. Salut, Jonah et Pompon ! Salut, Chinois. Bon. Alors, Jonah, on y va. You go. Jonah, on a le fauteuil « reserved ». On va se faire un gueuleton. Oui, mais un bon. Tu m’étonnes. Je vous invite. Non, non. Chez nous, les femmes paient pas. Mais si. J’insiste. Alors d’accord. Oui, mais un super gueuleton. On essaiera de se manger un petit sandwich. Un sandwich. Un sandwich. Passe-moi ton portable. Pour quoi faire ? Tu vas voir. Tu vas faire quoi ? Attends, regarde. Écoute. Allô ? Allô ? Allô ! C’est qui ? Mon cul ! mon fils ! C’est dégueulasse ! Vous êtes dégueulasses. T’as voulu un portable, tu l’as. Et vous êtes dans le coup ? Évidemment. Qu’est-ce qu’il y a ? J’ai un pressentiment. Oh, nom de Dieu ! Je peux pas. C’est clapé ? On y va ? Explique-moi qu’est-ce que Radio Fuck off! Où il va, lui ? Attends. Jo, ils sont nombreux. Allez, allons-y. Commence, toi. Attends. On était partis. On va le faire à l’arrache. Allez, on va bouffer. Chut. C’est parti ? Ça va pas être possible. Non. Il y a les sirènes. C’est ça, oui. Pompon Radio Fermez les portes, les mecs. M. Porcu ? Très bien. Après ce sera M. Lacouille. C’est ça ? Ça doit pas être simple, d’être flic. Je les prends plus. « Je les prends plus Radio » Gégé, reprends depuis le début. D’accord. Je les ai pas. Quand je sors, je me farcis. Du coup, je les prends plus. Comme ça Radio Et si je vous peignais, comme avant ? Oh, non ! Ça n’ira pas. Si. Ce sera très bien pour danser. C’est un ami de Dominique. Et il fait quoi ? Je ne sais pas, rien. Ils ont combattu ensemble. Ton baron non plus ne travaille pas. Un baron ne travaille jamais. Comment tu trouves ? Oui. Tu l’aimes ou pas ? Je préférais l’autre. Non. Ton Antoine. Qu’est-ce que j’en sais ? Bon. Ben, tu l’aimes. Et lui ? De toute façon, ça ne marche jamais, avec le premier. Depuis la fin de la guerre, Antoine Carmontel partageait un appartement avec Dominique Hériot, son meilleur ami. Antoine vivait au jour le jour, sans souci du lendemain. Dominique, lui, dépensait son argent en tableaux et en masques nègres. Qu’est-ce que c’est que ça ? Je sais, c’est horrible. Pire. Une toile de Segré. J’étais chez eux, ce soir. Il y avait Solange. Et Marianne, bien sûr. Tu étais obligé de l’acheter ? Il a fait de belles choses, il y a longtemps. C’était quoi, comme soirée ? Rien de passionnant. Cocktails de fruits, musique hawaïenne Radio Les filles Segré sont assommantes, à part Marianne. Et sa mère. La mère a vraiment quelque chose. Tu sais ce que Solange m’a avoué ? Elle a couché avec Gilbert. Tu ne dis rien ? Voilà, monsieur. Merci. On m’a dit que vous veniez, parfois. Ça faisait longtemps. Je sais, je viens tous les jours. Vraiment ? Vous m’avez attendu ? Je ne me suis pas ennuyée, vous savez. J’ai lu, j’ai discuté avec des amis Radio J’ai bu, aussi. Vous avez l’air étonné. Si, je vous assure. Je m’étais donné la semaine. « La semaine » ? Oui. Pour vous croiser. Et si vous ne m’aviez pas croisé ? Vous ne m’auriez plus revue. Pourquoi ? Vous n’avez pas cherché à me revoir. Je n’y avais pas pensé. Vous n’en aviez pas envie. Je n’ai pas dit ça. Marianne, dès que je vous ai vue, vous m’avez plu. Est-ce que vous m’aimez ? Bien sûr. Non, vous ne m’aimez pas. Pas encore. Qu’est-ce que vous en savez ? Non. Je ne vous aime pas, c’est vrai. Je ne sais pas aimer. Ma maîtresse ne cesse de me le répéter. J’aimerais bien la connaître. Vous êtes venu en célibataire, ce soir ? Écoutez, oui. Vous m’aviez promis. Les lignes. Alors Radio Il y a une ligne de coeur. C’est vrai ? Vous allez rencontrer quelqu’un. Une rencontre. Je serais curieux de savoir qui. « Un coeur, le mien, te suit dans ton voyage au nord, « là-haut. « L’amour est libre, « jamais soumis au sort. « Lou, « le mien est plus fort encore que la mort. « Un coeur, le mien, « te suit dans ton voyage au nord. « L’amour Radio » Au revoir. Au revoir. Merci. Merci d’être venu. À une prochaine. Je suis vraiment contente que tu aies pu te libérer. À bientôt. Rentre bien. Allez, rentre bien. Lucien, je te raccompagne. À la prochaine. À la prochaine. Au revoir. Magnifique. Salut. Rentrez bien. Merci. Je vais me retirer. Bonsoir. Au plaisir. Au revoir, Marianne. Au revoir. Vous êtes restée ? Vous ne m’avez rien dit de Nicole. Elle est très belle. Vous reviendrez ? Salut, mon vieux. Salut. À bientôt. Bonsoir. Bonsoir. Pardon. Où est-ce qu’on va ? Je ne sais pas, moi. Celui qui a perdu à la crapette choisit l’endroit. C’est un peu facile, ça. C’est un peu facile. Le mois prochain, tu vas voir. Le mois prochain. Es-tu bien ? Si bien ! À quoi penses-tu ? Mais à toi ! Oui. Bien sûr. Pourquoi me regardes-tu comme ça ? Je t’ai regardé toute la soirée. Et Radio? Rien. Ce voyage à Florence dont tu parles tout le temps, ce serait peut-être le moment. Tu veux te débarrasser de moi ? Qu’est-ce que tu as, ce soir ? Rien. Je n’ai rien. Pardon Radio Que faites-vous là ? On m’a dit d’attendre ici. Qui êtes-vous ? Antoine. Antoine Carmontel. Je suis venu voir Marianne. On a dû m’oublier. C’est une maison de fous. Elle a dû vous le dire. Je repasserai. Marianne ! Moi, c’est Évelyne. Marianne ? Quelqu’un t’attend. On t’a rien dit ? Vous êtes là depuis longtemps ? Demain, nous allons à la campagne, avec des amis. Voulez-vous être des nôtres ? « Demain » ? Non, je ne peux pas. Nous pouvons repousser de ou jours. Non, je ne crois pas. Écoutez, Marianne. Je pars seul et j’ai envie d’être avec vous. Prends-moi dans tes bras. Tu trembles ? Plus fort. Quelque chose en toi n’est jamais là. Tu crois que nous serons heureux, un jour ? Je ne sais pas. Nous sommes trop jeunes, pour penser au bonheur. Je crois qu’on choisit d’être heureux,