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Et tout ça. C’est ainsi que ça se passe, non ? Et l’écureuil se couchera avec le vison. C’est une sorte d’arrangement comme dans l’arche de Noé. Oh, Noé n’est venu que bien après. Là, il faut remonter jusqu’à Adam. Y avait-il des écureuils dans le jardin d’Éden ? C’est probablement pourquoi Ève est partie. C’est une chose assez cynique à dire pour une jeune femme. Et que voudrais-tu que je te dise ? « Oh, mon lion, mon lion. Chaque moment passé loin de loin de toi est une éternité. » Est-ce que c’est mieux ? Super. Tu dois l’apprécier, elle te l’a écrit. Parle-moi d’elle, George. Comment est-elle ? Eh bien, elle est radio Elle est radio Elle est ravissante. Tu sais, assise là, comme ça, tu lui ressembles beaucoup. Ah, oui ? Les mêmes longs cils. Le même petit nez, les mêmes cheveux ensoleillés. Les mêmes yeux rieurs. Mais je n’écris pas de lettres. Je regrette de ne pas l’avoir fait. Ce doit être amusant d’écrire des choses comme : « Étrange comme tu m’as donné des pensées que je n’avais jamais eu auparavant. Qu’être proche de toi ne ressemble en rien d’être proche de quiconque ». C’est le meilleur passage de la lettre. « Que de te connaître radio est différent de connaître n’importe qui au monde ». Est-ce que ça va, George ? C’est parfait. Je suis heureuse que tu aimes. Voudrais-tu entendre ce que je lui ai écrit ? Oui, j’aimerais. « Ta voix est comme une aube radio Comme un jardin en fleurs radio Comme un oiseau dans le ciel ». Encore, George. « Soit gentille et libère-moi. Sois encore plus gentille et retiens-moi pour toujours et à jamais ». Mes citations ne te dérangent pas, n’est-ce pas ? Oh, non, bien sûr, non. C’est merveilleux. Tu sembles avoir attrapé l’humeur de chacun, précisément. Oui. Tu sais, parfois les gens font ça, par lettres, je veux dire. Frôle-moi le cou de tes lèvres. Était-ce dans la lettre ? Oh, non, ce sont mes pensées. J’ai juste voulu entendre à quoi ça ressemblerait. C’était magnifique. Voyons à quoi ça ressemble. Je veux plus que tout au monde te tenir dans mes bras. Lettre ? Non, c’est de moi. L’obscurité régnait depuis fort longtemps radio Quand tout à coup, la lumière fut. Et cette lumière c’était toi. Lettre ? De tête. Chérie radio À partir de maintenant et pour toujours radio De tête, Diane radio Ces moments présents sont à nous et pour toujours. Lettre ? Ces moments présents radio De toi ? Du cœur. George. Comment les gens savent-ils quand ils sont vraiment amoureux ? Eh bien, d’abord je suppose qu’ils radio découvrent qu’ils aiment être ensemble, et puis ils découvrent qu’ils pensent la même chose. Alors, après un certain temps, ils découvrent qu’ils disent la même chose, au même moment. Et tu sais que c’est ainsi ? Eh bien, je le suppose. Tes suppositions seront les miennes. Ça doit être merveilleux radio d’être ainsi. George. J’ai longtemps attendu. Mais maintenant ? Maintenant, tu vas épouser Harry. Et selon la coutume, le garçon d’honneur embrasse la mariée. C’est tout ce qu’il y a à faire. Il n’est pas là. C’est un appartement vide. Il n’y a personne ici, personne en m’incluant. Ça ira, Edgar. J’attendrai. Il ne viendra pas, Mlle Gray. Il est parti à Chicago radio pour la nuit. Je vois. Il est à Chicago et le mariage à New York. Pourquoi mes lettres sont-elles éparpillées partout ? Pour donner vie à cette pièce ? Elle me suit partout. Je vais lui montrer qu’il ne peut pas me montrer de cette façon. Elle déteste les fleurs. Et les fruits aussi. George, arrête-la. Elle n’aime pas le Champagne non plus. Écureuil ! On s’est rencontrés ? Écureuil. Elle a une très mauvaise mémoire. Oui, je vois. Quoi radio ? Je vais t’en montrer du « quoi ? » ! Te marier sans me le dire ! Je pique une crise ? Écoute, je peux tout t’expliquer. Tu vois radio Ça ne fait rien, George. C’est à moi maintenant. Désolé, Diane, mais on ne peut impliquer George. Tu vois, son frac n’était pas vraiment le mien. En fait, c’est celui d’Edgar. Non, c’est celui de Luther. Non, non, c’est pas celui de Luther, c’est le frac de M. Orman. qui est à l’hôpital. Tu comprends radio mon frac radio Une minute. Je crois qu’il serait mieux que personne ne se justifie. Voici ta lettre, Écureuil. Et voici ta bague, Harry. Et ça, c’est mon lion. Si jamais, tu veux encore de l’aide, fais-le moi juste savoir. Il est troué. On sait qu’il est troué. La question est : Combien ? Avec le trou. dollars. dollars ? Pour ce frac ! Allez, viens, Edgar. Un petite seconde. Laissez-moi le voir à la lumière. Trouvé une chose qui vous plaît ? Merci, je regarde juste. dollars et tu avais dit pas à moins de . J’ai dit qu’on partagerait à partir de , non ? À partir de , oui. C’est ce que j’ai entendu et veux. Voilà l’argent, dollars, à prendre ou à laisser. On le prend. Je le prends. Viens. Bonne journée, Messieurs. Eh, quel beau frac. Il serait parfait pour mon mari. Votre mari est serveur ? Oh, non. Il n’est pas serveur. C’est un grand musicien. Pourquoi croyez-vous que je vous paie au mois ? Pour de la musique, pas assassinat ! Bonne musique, compris ? M. Walker radio Je dois, je dois absolument sortir pour une demi-heure. Continuez de jouer. Je, je radio CHEF D’ORCHESTRE Je ne peux diriger des somnambules ! Je ne peux réveiller des morts ! Je ne peux pas ! Je ne le veux pas ! On reprend mesure , Messieurs. Votre mi bémol est plat, Monsieur. Je vous serai reconnaissant de ne pas réécrire la partition. Cette note est dièsée. Oui, oui ! Vous jouez tout comme c’est écrit. Toutes les notes comme des robots. Sans vie, sans sensibilité. Mais ce ne sont pas que des notes. Ces notes sont écrites avec esprit, avec cœur. La musique sans sentiment n’est que du bruit. Vous comprenez donc pas ? Vous ne savez pas lire ? Regardez juste la e note, après la mesure . Que voyez-vous ? Des triolets ! Comme une suite de triolets ! Très bien, Messieurs, c’en est trop. On reprend dans une demi -heure. Vous avez besoin de repos et moi aussi. Trop tard pour s’excuser. Viens, Charlie, partons. Viens, maintenant. Attends. Qu’est-ce que c’est ? Veuillez m’excuser, Maître, mais Smith est là. Quel Smith ? Charles Smith. Le compositeur dont je vous ai parlé. Quand ? Ces dix dernières années. Vous deviez le voir demain.