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Radio Vinci Autoroutes Sud 107.7 FM

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C’est trop loin. Copenhague ? C’est trop froid. Trieste ? Si on allait à la maison de mamie ? On serait tranquilles. Oui. Je vais chercher à boire. Tu viens ? – Tu veux quelque chose ? – Un Coca, s’il te plaît Bonjour Bonjour De l’essence ? – Non, non. ,. Je vais vous prendre ça, aussi Tenez. Merci. Votre monnaie ! Mais t’étais où ? Je viens de me rafraîchir un peu. J’ai pris des sandwichs. Tiens, ton Coca. Punaise ! – À la nôtre ! – À la nôtre ! Non ! Tu vas en mettre partout. Non. Attention ! Partout ! Attends que je t’attrape ! Viens ! Attrape-moi ! Attends ! Attends ! Ah ! Je suis tellement bien. T’es très belle T’as faim ? – Oui. Allez ! Tu me trouves comment, toi ? Marrante ? Bizarre ? Étrange ? Gentille ? Moi, je vous aime. J’écoute vos histoires. Quand vous êtes heureux, je suis heureuse. Et quand vous êtes tristes radio On s’amuse, toutes les deux. Ça te fait quoi, comme effet ? Quoi ? Les médicaments. Ça te fait quoi ? Rien. Pourquoi tu les prends, alors ? Tu me trouves comment ? Un peu seule, peut-être. Ton ami Max, il est bien, ce garçon ? Laisse tomber. J’ai besoin de personne. Tout le monde a besoin de quelqu’un. On est ensemble, non ? Oui. Passe-la-moi T’avais raison Quoi ? Ça fait du bien de disparaître. On y va ? Je voudrais pas qu’on arrive trop tard. Allez, viens ! Allez ! On fait la course. Allez, vite ! – Attends ! – Pourquoi ? T’as peur de perdre ? Allez, viens ! C’est beau. Tu devrais filmer ça. C’est vrai que c’est beau. Tu me tiens ? Ça me fout le vertige. Arrête, c’est pas drôle ! Arrête ! Hé ! – Tu veux te battre, hein ? – Allez, viens. Tu veux te battre ? – secondes Quoi encore ? Viens. Allez ! À trois. T’es vraiment cinglée. Bon. Allez, d’accord ! À trois. Allez ! Trois ! Aïe ! Attends, tu vas voir ! On va passer chercher Cathie ? Non. C’est pas une bonne idée. C’est sympa si on est toutes les deux, non ? Oui Donne, je vais t’aider Non. Ah non ! Non ! Arrête ! Tu arrêtes ça ! Écoute ! Laisse ! Tu crois quoi ? Moi aussi, je peux te foutre les jetons. Passe-la-moi. Tu vas voir. T’étais comment à ans ? T’aimais faire quoi ? Je ne sais plus. On s’ennuyait pas mal avec Cathie. Il n’y avait pas grand-chose à faire, ici. On se fabriquait des robes un peu trop courtes, avec la machine de maman. Elle, ça l’énervait. Mais on sortait quand même. On aimait bien aller danser. Et puis j’ai rencontré ton père. Il y a un endroit que je voudrais te montrer. On arrive, là. On continue. C’est pas loin. Il faut tourner là. Là, là ! C’est l’endroit où on allait toujours avec Cathie. C’est paumé. Tu sais où on va ? Oui, oui. Attends-moi ! On venait souvent dans ce bar quand on était jeunes. On en a fait, des choses, ici, ma soeur et moi. C’est bien, non ? On devrait continuer. Il est tard. J’ai assez dormi, tu ne crois pas ? Prends-moi une bière. Non. Tu ne devrais pas. Qu’est-ce que je vous sers ? Deux bières, s’il vous plaît. Vous avez une pièce ? Merci. Je t’ai jamais vue. C’est la re fois que tu viens ? Oui. Elle se lâche, on dirait. Elle danse bien, votre copine. Qu’est-ce que vous buvez ? Rien, merci. Ça va. Allez ! – Non. Je sais pas Allez ! On danse. Tu préfères pas qu’on reste à la table ? Non. On s’amuse. Mais je te regarde. Arrête ! J’ai pas envie. S’il te plaît On va danser ? – Non. Ça va. Allez ! – Allez, viens ! – Non, j’ai pas envie. Lâche-moi. C’est ta mère ? Elle assure. C’est quoi, ton prénom ? Vous êtes arrivées comment, ici ? Elle venait ici quand elle était jeune. Hé ! Putain ! Mais tu fous quoi ? Je peux pas te laisser secondes. Oh ! Donne-moi ça. Encore la même chose. Ma fille a besoin de se détendre. Arrête, maman ! Je peux savoir ce que tu fais ? Je m’amuse, tu vois pas ? Arrête ! Tu sais très bien que tu ne dois pas. « Arrête ! Tu sais très bien que tu ne dois pas. » T’en as pas mal, des choses en commun avec ton père, tu sais ? Allez ! À nous deux. On y va On y va, je te dis Fiche-moi la paix ! – Elle s’amuse, elle te dit On t’a demandé un truc, à toi ? Allez ! Arrête de déconner. Mais c’est ma spécialité, n’est-ce pas ? On y va. On y va, je te dis ! Je veux pas rentrer. Arrête, ça suffit ! T’es trop excitée. Tu vas te reposer. Laisse-moi ! Laisse-moi tranquille ! Je ne suis pas fatiguée. Viens ! Viens là ! Je suis pas fatiguée. Vous entendez ? Maman ! C’est fermé. Ouvre. OK. Super ! Ouvre, maintenant ! Ouvre cette voiture ! Merde ! À quoi tu joues ? Je suis trempée, là. Dégage ! Arrête, ça suffit ! – Dégage ! – T’es ridicule. Je sais, je suis « ridicule ». Maman, ouvre. S’il te plaît, ouvre. J’ai froid. Ouvre. Allez, merde ! On arrête les conneries, là. C’est ça, vas-y ! Reste enfermée, ça te change. Putain ! J’en peux plus. Tu vas me rendre dingue ! Mais merde ! Pourquoi t’es comme ça ? Hein ? Pourquoi t’es comme ça ? Je suis de ton côté, moi. Je ne suis pas comme papa. Tu ne vois pas comment ils sont tous avec toi ? J’ai de la peine pour toi. Mais arrête, putain ! Arrête ! Putain, j’en ai marre ! Tu me pourris la vie. Tu veux que je te prenne pour une tarée ? Reste dans ta boîte, espèce de tarée ! Remonte tout de suite dans la voiture. On y va. Repose tout de suite cette caméra. Allez ! Filme ta mère. Ça fera une sacrée bonne vidéo. Arrête ça, bordel ! Et souris un peu. Là, t’es vraiment trop moche. T’es ridicule. Ça, tu me l’as déjà dit. Ça te fait peur, d’avoir une mère tarée. Ça te fait peur, d’être comme moi. Hein ? Regarde-moi. Tu ne me laisseras jamais en paix, hein ? On peut même pas passer un moment tranquille. Il n’y en a que pour toi. Même quand t’es pas là, tu prends toute la place. Il n’y en a pour personne d’autre. Tu comprends, ça ? Tu comprends ? Allez, viens ! Viens ! Viens, on va danser. Non, j’ai pas envie. Viens. Allez ! Allez ! – Je ne veux pas Allez ! Arrête ! Arrête ! Voilà. Je ne suis pas une tarée. Je suis fatiguée, des fois. Mais pas tarée. Je sais. Dors, maintenant. Maman ! Je viendrai pas trop tard, ce soir. Et toi, tu te recouches. Tu prends tes médicaments. OK ! Je t’aime. Je file. Oui, file ! Allez, vas-y ! File, file. Mais qu’est-ce que tu fais ici ? C’est ton père qui t’a dit de venir ? Vous vous êtes parlé ? C’est ça ? Mais moi, je vais bien. Tout le monde veut que je sois fatiguée, mais je ne le suis pas. C’est toi qui as une sale mine. Allez ! Relaxe-toi. Ma chérie. Pourquoi tout le monde s’inquiète ? Je vais bien. Oui. Je vais bien. Dis-le. Dis-le, que je vais bien. Mais dis-le ! Dis-le ! Maman va rentrer d’une minute à l’autre. Tu sais bien que tout doit être parfait. Alors, tu pourrais m’aider au lieu d’être comme ça à rien faire. Ton père est parti tôt, ce matin. Il a beaucoup de travail. Il me manque. Il radio Il va rentrer plus tôt, aujourd’hui. Il sera bien content de voir ce que tu lui as préparé. Vous me manquez toujours. Pourquoi vous me manquez tout le temps ? Et pourtant, je suis contente que tu sois là Tu sais ? – Oui, je sais. Moi aussi. Elle est très belle, ta table, maman. Il manque des fleurs. Anita aime bien les fleurs. Tu prends bien soin de nous. T’as toujours pris bien soin de moi. Je vais chercher les fleurs. Oui. Salut, papa. C’est moi. Il va pleuvoir.