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C’est comme mélanger deux touches de couleur ensemble. On ne peut plus les séparer. Je n’ai jamais encouragé Charlie. Je n’ai jamaisradio Tout cela paraît bien compliqué. Maintenant que je comprends le malaise de Joe, jeradio Ça paraît logique. N’est-ce pas ? Je clarifierai la situation sans que cela fasse un drame. Je dirai à Charlie ce que je ressens. Faites. Bonjour. Chris. Mac. Ça n’a rien donné ? On a encore fait chou blanc. Où est Joe ? On s’en fiche. Que s’est-il passé ? Il ne tourne pas rond. Pas moyen de le faire parler. Je ne l’ai jamais vu dans cet état. Veuillez m’excuser, je vais poudrer mon résumé. Il n’a pas fait la moindre allusion ? Non. Se serait-il passé quelque chose, ce soir ? Entre vous et Joe ? Quelque chose qui aurait pu le choquer ? Comment cela ? Eh bien, une remarque malencontreuseradio Sans vouloir le blesser. Non, je ne vois pas. Il peut arriver qu’on oublie un mot qui nous aurait échappé. Une remarque raciste ? Vous croyez que j’aurais pu direradio Que j’aurais pu l’embarrasser ? Comment osez-vous ? Pardon, Chris. Pardon de vous avoir blessée. Bonsoir, Chris. Bonne nuit. L’amour est un combat. L’un des opposants n’en sort pas indemne. Pour ceux qui ne connaissent pas le kendo, c’est un art où les coups ne peuvent être portés n’importe où. Il est dangereux de ne pas respecter les règles. Quand le sujet touche la tête, le torse ou les poignets, les coups seront validés. Quand l’adversaire est touché et que le coup est validé, il perd. Les premiers combattants du tournoi de kendo sont les champions de l’an dernier. Le yudansha occidental est l’inspecteur sergent Charles Bancroft de la police de Los Angeles. Le yudansha japonais est l’inspecteur Joe Kojaku, aussiradio Qu’est-ce que fait Kojaku ? Il ne respecte pas le règlement. Ça me torturait, et quand tu m’as frappé, la rage m’a pris. Je suis désolé. Qu’est-ce qui te torture ? Chris. Tu as bien entendu. Chris. Nous nous aimons. On n’y peut rien, Charlie. Pour toi, je ne l’ai pas touchée. Je me suis retenu de la prendre dans mes bras. Je ne voulais pas t’assommer de coups. Je n’ai pas l’habitude de ne pas exprimer mes émotions. Voilà, c’est fait. Ça fait mal, mais je n’y peux rien. Dis quelque chose. Sors de tes gonds. Frappe-moi. Je le mérite. Tu as envie de l’épouser ? Tu n’aurais jamais dit ça à un Blanc. Quoi ? Ton visage parle pour toi. Tu es devenu fou ? Qu’elle me préfère te débecte. Tu crois ça ? J’en suis persuadé. Rien que l’idée te retourne l’estomac. Regarde-toi. Ce n’était pas de la simple jalousie. D’où ma réaction. Vu son expression, j’ai compris. C’est ce que tu as voulu voir. Tu n’étais pas là. Je sais ce qu’il pense. J’ai vu son regard. Jamais il ne l’avait eu auparavant. Je ne suis pas un pleurnichard. Mais je me suis senti trahi. Ce n’est pas ce qu’il voulait dire. Peu importe son intention, c’est là tout le temps. C’est ce que tu crois percevoir. Tu ne peux pas te mettre à ma place. Non, mais je comprends. Comment le pourrais-tu ? Chérie. Comment ? Tu ne peux pas savoir ce que je ressens. Regarde-moi bien. Me trouves-tu différent d’hier ? Joe. Mon visage a-t-il changé ? Arrête. Il faut que ça sorte. Je n’ai jamais ressenti ça dans l’armée ou la police. C’est peut-être ans d’histoire qui me rattrapent. Pour la première fois, je me sens différent. Je le sens de tout mon être. Je me surprends à essayer de savoir qui je suis. Je suis né ici. Je suis américain. Je me sens, je vis et j’adore l’être, mais au fond, qui suis-je ? Un Japonais américain ? Un Américain japonais ? Un Nisei ? Dans quel tiroir doit-on me ranger ? Dis-moi. Pardonne-moi, chérie. Pourquoi est-ce que je t’impose ça ? Tu es blessé, et je ne peux soulager cette blessure. Joe. Si tu m’avais rejeté, j’aurais été blessé, mais j’aurais compris. Je t’aurais crue. Mais Charlieradio je me demande ce qu’il pense depuis le début. Racontait-il des blagues dans mon dos ? Ça ne marchera jamais, Chris. Si c’est ce qu’il pense, qu’attendre de toi ? Tout. Parce que je t’aime. Tu ne liras sur mon visage que ce que tu voudras y voir. Au revoir, Chris. Est-ce que parler arrangera les choses ? Non. Tu m’as mal compris. Pas la peine de t’excuser. M’excuser ? Non, pas quand on veut me faire dire ce que je n’ai pas dit. Tu perds ton temps. J’ai été désarçonné quand tu m’as parlé de Chris. Si j’avais un drôle de regard, c’était de la haine. La haine saine et normale d’un type jaloux. Regarde-moi, Joe. Tu me connais comme personne. J’ai même de ton sang dans mes veines. Tu peux le garder. Heureusement qu’on ne m’a pas greffé un bout de ton cerveau. Quand comptes-tu démissionner ? Dès que le chef sera arrivé. Joe, l’affaire n’est pas bouclée. La mienne, si. J’ai essayé, Chris. Croyez-moi. Que fais-tu ici ? Tout mon possible. Tout mon possible pour te convaincre que tu as tort. Joe, ne t’enfuis pas. Ne démissionne pas. Ce n’est pas le problème. C’est tout ce qu’il a représenté pour toi. Si tu fuis maintenant, rien de pire neradio Quoi ? Je devrai me rappeler ce que je veux oublier ? Joe. Que se passe-t-il ? Chris ? Je crois avoir vu Hansel. Charlie. Il n’est pas armé. Paul Sand. C’est votre vrai nom ? Oui. Pourquoi avoir caché votre liaison avec Sugar ? Vous vous trompez. O.K., votre amitié. Je risquais de perdre mon travail. Nous ne faisions qu’affaire ensemble. Personne ne l’aurait cru. Alors j’agissais en secret. Elle comprenait. Et votre rencontre ? Elle cherchait un livre sur le Japon. Elle voulait faire un numéro en kimono. Je l’ai renseignée. Vous avez eu l’idée de ce numéro ? Oui. Je lui ai suggéré qu’il prenne place chez une geisha et qu’il y ait un karatéka et un samouraï. Je lui ai proposé de les trouver, et elle m’a rémunéré. Alors pourquoi l’avoir tuée ? Écoutez, M. Sand. Coopérez et racontez-nous tout. C’était une belle femme. On peut comprendre que vous ayez voulu la séduire. Que s’est-il passé ? Elle s’est moquée de vous ? C’est ce qui vous a poussé à tirer ? Elle vous résistait ? Qui est le perruquier qui vous a assisté ? Personne ne m’a aidé. Quand vous avez menacé cette jeune fille au téléphone, qui a tiré ? Paul, suis-moi. Appelez une ambulance. Paul m’appartenait avant qu’elle ne débarque dans sa vie. Je savais qu’elle me le prendrait. Alors je suis allée la voir sur scène. Je l’ai vue se déshabiller devant tous ces gens. J’ai cru mourir en voyant son corps. C’est pour ça que je l’ai tuée, mais j’ai eu tort. Je m’étais trompée. Elle ne l’a jamais intéressé. Il ne l’a jamais touchée. C’était le fruit de mon imagination. Je croyais le répugner. Vous me comprenez. Son corps sculptural, le mienradio J’avais tellement honte, la jalousie m’habitait. Pitié, Seigneur, pardonne-moi. Pardonne-moi, jeradio Non. Je neradio Charlie. Tu l’as eue ? Oui. Elle est morte ? Non. Elle a tué Sugar. Pourquoi ? La pauvre. Elle a cru qu’Hansel allait la plaquer pour Sugar. C’est pour ça qu’elle l’a tuée. Elle s’en était persuadée. Elle croyait le dégoûter. Elle a vu ce qu’elle voulait bien voir. Je ne sais plus trop quoi te dire. Inutile. Je le vois bien. Comment j’ai pu réagir comme ça ? Parce que tu n’es qu’un crétin. Charlie. On fait toujours équipe ? Non. Ça va être dur. Pour moi, ça sera toujours dur de voir Chris avec toi. Mais en ce qui nous concerne, je suis heureux que tu aies enfin trouvé la bonne. Joe ! Joe ! Sergent. Dur dur. Allons nous en jeter quelques-uns. Mac, tu es une vraie perle. Merci, mais paie-moi un verre, plutôt que de me complimenter.