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On était un groupe super. C’était une secte de vélo sous LSD, on s’appelle maintenant Soul Cycle. Les années . Je suis étudiant à Columbia après qu’un psychiatre de l’armée m’a jugé trop violent pour le Vietnam. , des millions de gens regardent Neil Armstrong marcher sur la Lune. Je n’oublierai jamais où j’étais. Dans un studio du Queens à mettre en scène l’atterrissage lunaire. Mais les années , vous voyez ? Je me souviens, un jour, je traversais la cour de Columbia. Mais les années , vous voyez ? Je me souviens, un jour, je traversais la cour de Columbia. Et j’ai vu un mec super cool. Peace, oh bonjour. Peace des années , bonjour à toi. De la marijuana. J’ai entendu parler d’un nouvel appart groovy sur la e. Ça te dit d’être colocs ? Ça me dit d’être colocs. Mais je te préviens, je risque de déménager bientôt, je suis fiancé à une fille qui ne la ferme jamais. Je te préviens, j’ai peur des ratons laveurs. Ils sont dingues, ils ont de petites épaules et un gros ventre, comme un bocal en fourrure. Fais gaffe, ils peuvent te piquer ta bouffe, mais méfie-toi, ils peuvent piquer ton cœur. Les ratons laveurs disent : « T’es un chat, un renard, ni l’un ni l’autre ? » T’es un raton laveur. Un raton laveur. Et puis tout d’un coup, ils se dressent, c’est bizarre. Ils ont des queues qui ressemblent à des Swiffers teints. Les Swiffers existaient déjà ? Ils ont des mains humaines pour t’arracher les yeux et les gober tel du raisin. Tu as déjà entendu un raton laveur manger du raisin ? Je parie qu’en Australie on les appelle voleurs des poubelles. Ils sont vraiment y. Autre chose à leur sujet… Et on habite ensemble depuis. Une lettre arrive, apportée par un facteur quelconque. On n’a pas $, on va perdre notre appartement. Oh, George, je suis déprimé Qu’on doive déménager Bon, c’était intéressant. Ça me pose quelques problèmes, Gil. Primo, on n’a pas les droits pour « Movin’ Out » de Billy Joel. Je sais, c’est pour ça que j’ai marmonné. Ce que tu as lu était bien trop long. Ne recommence pas. Oui, d’accord. Puisqu’on se donne du feed-back, je me disais que tu pourrais t’abstenir de me faire des commentaires pendant la pièce. Monsieur est grand, c’est ça ? Monsieur Gil fait du vélo sans les petites roues ? Non, ça me plaît. J’ai une question à te poser. Tu ne veux pas foirer ça comme tu as foiré CBS, si ? Non. Tu crois que si tu faisais une overdose demain, ça intéresserait quelqu’un ? Tu es vraiment un loser, tu le sais ? Tu es… Non. Non, pas d’échappatoire. Écoute, on a tous les deux dit des choses blessantes. Mais on a un public sympa, alors ressaisis-toi, Gil. Fais Mike Jackson, le roi de la pop. Mike Jackson. Je veux montrer un bébé au balcon. C’était le truc le plus drôle jamais vu. Il n’y a qu’un moyen de revenir. Mike Jackson. Oui. T’es pas mauvais. Je veux marcher sur la Lune un jour. C’est triste. Bon. Reprenons là où on en était. Je doute que le public ait remarqué. Une lettre arrive, apportée par un facteur quelconque. On n’a pas $, on va perdre notre appartement. Oh, George, je suis déprimé qu’on doive déménager. Moi aussi. Mais ne nous laissons pas abattre. Si c’est notre dernier jour à New York, amusons-nous. Je me disais… Et si on allait au vieux studio WOLO pour enregistrer un épisode de Tu sais quoi. Tu sais quoi ? Notre jeu où les participants devaient deviner ce que tu savais ? C’était un jeu tellement vague et difficile. On n’avait jamais établi exactement ce que je pouvais savoir. Un jour, un type a deviné et j’ai menti. Non, gros bêta, je parle de notre autre émission. Nous vous emmenons dans un restau de Midtown, à New York, où même la glace est mauvaise. Tout le monde y est moche. Vous voyez ? Chaque personne, à sa manière… est moche. Le menu fait pages de long. Et même si c’est un restau, on y trouve du homard. On est presque tenté d’en commander juste pour voir ce qui se passerait. On retrouve le superbe Gil Stone. Puisqu’il est dans un restau, il mange comme dans un film des années . Ma belle, apporte-moi un poulet cacciatore ou un autre plat qui n’existe plus. Très chère, puis-je avoir un café des années , tout dilué et gris, et un revolver à mettre sur la table ? Ma grande, apporte-moi un demi-melon, une cuillère de cottage cheese et un steak à la Diane. , on est en direct. Oh, bonjour. Trop de thon Bonjour et bienvenue dans Trop de thon, sur la chaîne WOLO. Bienvenue à tous nos spectateurs. Que vous soyez un chat seul dans un appartement. Ou une femme de ménage du Honduras qui n’est pas sûre d’avoir le droit de changer de chaîne. Bienvenue à tous les deux. Dans Trop de thon, les blagues sont… . On peut pas le dire. Bon. On la refait. Trop de thon est une émission sans blagues. On se contente d’interviewer les plus grandes personnalités de New York et elles ne sont pas du tout remerciées en thon bien mérité. Ceci est notre dernier épisode de Trop de thon, puisqu’on nous oblige à quitter notre appartement de Manhattan. Mais pour notre dernier épisode, nous avons un invité très spécial. C’est vrai. C’est un bon invité. Un super invité. Un bon choix. Un bon choix. Il a commencé comme auteur dans l’émission des Smothers Brothers, il est depuis devenu l’une des stars montantes du monde du cinéma. Merci d’accueillir Steve Martin. Merci d’être venu. Dieu vous bénisse, merci. Trop de thon Bienvenue à Steve dans Trop de thon Bienvenue à Steve dans Trop de thon Je dois faire ça longtemps ? C’est super avec ce… Oui. Vous voulez défaire… Je porte déjà un micro, je porte toujours un micro. On ne sait jamais. Je le fais ? Oui, allez-y. Comme vous. Merci. Je vous ressemble. Pas besoin de boutonner. OK. Vous la laissez ouverte ? Vous savez, j’ai roulé ma bosse. Oui, bon. Oh, non. On sait. Quel plaisir. Oui. Au fait, le son est bien. Merci, c’est bon de l’entendre. Merci pour ce compliment pondéré. Disons que j’ai de grandes espérances pour la suite. C’est gentil. Vous êtes vous-même un auteur reconnu. Merci beaucoup. Mais vous l’avez bien cerné. Merci. Vous avez cerné l’essence de l’écriture. Merci. D’ailleurs, Mike Nichols m’a dit un jour… Il a dit… Vous avez lâché quelque chose. Bon Dieu. Au bout de deux minutes d’interview.