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Xiberoko Botza 95.5 FM Mauleon Licharre

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Xiberoko Botza 95.5 FM Mauleon Licharre Écouter

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Je pense que c’est rien. Et que disais-tu ? Parle. Ce n’était pas important. Juste que les femmes sont plus heureuses… quand elles ont plus… Oh, attention. Un chat. La plus ridicule chose que j’ai vu de ma vie. Toi et cette chaise, allant vers la fenêtre… vlan, et le chat ! Du calme. Joyce ! Joyce ! Tante Sue panique encore. Joyce ! Joyce, Tu es là, ouvre ! Oui. Une minute. Viens. Attends. Ma mère m’a appris à ne pas être pris fois… dans la chambre d’une fille. Joyce ! Joyce, qu’y a-t-il ? Une minute ! Ouvre, Joyce. Tu vas bien ? Oh, oui, très bien. C’est stupide. Quoi ? J’ai voulu prendre l’air et la fenêtre s’est coincée. Je l’ai cassé en l’ouvrant. Oh, c’est ça ? Comment as-tu pu… Et je me suis emmêlée dans le rideau avec le chat. Le chat. Mlle Lu, reprenez votre chat ? Je vous promets d’aller au lit… et de ne plus vous déranger. Si cette fenêtre est fermée, tout va bien. Bonne nuit. Attends-moi, Fred. Bonne nuit, ma chère. Bonne nuit. Vous dites que cette fenêtre était coincée ? Oui, elle était… bloquée. Ok. Wally. Wally ! Entrez. Pas mal, hein ? Des bottes de cheval. C’est encore ta tante Minnie qui t’as appris ça ? Non, c’est son petit ami. Oh, désolé. Eh bien, je vais y aller. Je ferme les volets ? Non. Ne faisons plus de bruit. Bonne nuit. La voie est libre. Ferme bien la porte après moi. Ne t’en fais pas. Promis. Bonne nuit, ma belle. Je ne voulais pas les réveiller. Je suis si nerveuse, je pourrai crier. Tu veux quelque chose ? Un somnifère ? Non, merci. J’en ai dans mon sac. Et si tu m’en donnais un ? Bonne nuit, Wally. Oublie le somnifère. Qui peut dormir ? Ouvre ! Je t’en prie ! S’il te plaît, Wally ! Joyce, ouvre ! Ouvre la porte ! Vous n’avez pas une autre clef ? C’est fermé de l’intérieur. Qu’est-il arrivé ? Nous ne savons pas ! Elle est vivante, Dieu merci. Mlle Lu, du brandy. Au secours, au secours ! Au secours ! Wally ! Qu’est-il arrivé, bébé ? Je l’ignore. J’avais les yeux fermés. Une main ! Qui venait du noir. Je l’ai senti. Mon Dieu, soyez cohérente ! Elle m’a touchée ! Le collier. Disparu ! Quel collier ? Le collier ! Wally et moi l’avons trouvé dans le jardin. Pendu à un arbre, je suppose. C’est vrai, nous l’avons trouvé. Mais il a disparu. La main l’a pris. La main ! Quelle main ? Oh, je l’ignore. Juste une main. Sortie du mur. Nous devrions appeler un médecin. Un psychiatre serait mieux. La pauvre enfant a perdu l’esprit. Taisez-vous. Tous ici, pensent comme moi… Joyce a perdu l’esprit. Mais non. Vous devez me croire. Mais comment, Joyce ? Après tout, quand quelqu’un commence à raconter… qu’une main est sortie d’un mur… Vous ne pouvez pas… Vous n’allez pas croire que je… Susan a raison. Vous pensez exactement comme elle, seulement… vous n’avez pas le courage de le dire. Pas moi. Je le sais, Wally. J’en ai assez subi cette nuit pour devenir folle ! Mais je ne le suis pas. Alors écoutez. Wally et moi avons trouvé le collier que Cyrus avait caché dans le jardin. Et il m’a dit « bonne nuit » et je me suis couchée. On a dû m’épier. Je le sais maintenant. Quelqu’un qui voulait m’effrayer. Alors… comme j’allais m’endormir… j’ai senti quelqu’un dans ma chambre. J’ai ouvert les yeux… et un grand bras est sorti du mur ! Et il s’est approché de moi… Je ne pouvais pas bouger et il m’a touché ! C’est ridicule. Vous voulez prouver que Joyce est folle, hein ? Ainsi vous pourriez récupérer le fric de Norman. C’est infâme, Wally. C’est ce que je ressens. Personnellement, je crois Joyce. Vous croyez en cette histoire fantastique ? Vous n’avez jamais entendu parler de passages secrets ? Passages. Sinon, comment la main que Joyce a vu… serait sortie du mur ? Voyons voir. Elle venait de là, Wally. Il n’y a rien ici. Une minute. C’est creux ! Qu’est-ce que c’est ? Écoute, bébé, ne sois pas surprise… si nous trouvons un squelette là-dedans. Crosby. Il est mort. C’est terrible. Pauvre Mr Crosby. Ça aurait pu être l’un de nous. Imaginez-vous au lit… avec une main qui cherche votre gorge ? Silence ! Où est Joyce ? Mlle Lu et Wally l’ont emmenée dans la salle à manger. La pauvre. Ce qu’elle a enduré. Et personne ne fait rien ? Si vous parlez d’entrer dans ce passage sombre… pour discuter avec un maniaque, c’est non. Vous savez, je doute que c’est un maniaque. Celui qui a fait ça était sain d’esprit. C’est vrai. Que ferait un maniaque avec un collier ? Je l’ignore. Seul un fou répondrais à cette question. À quoi pensez-vous, Fred ? Eh bien, je… Une minute. Si quelqu’un essaie de rendre Joyce folle. C’est une affaire préméditée. Quelqu’un d’entre nous connaît la clef… de tout ce qui est arrivé cette nuit. Wally Çampbell. C’est ridicule ! Oui ? Rappelez-vous… il a parié que Joyce serait l’héritière ? Oui. Et il était avec Joyce quand elle a trouvé le collier. Mais pas avec elle quand on lui a repris. Et il savait où était… le panneau secret dans le mur, aussi. Si tu insinues que Wally a assassiné Mr Crosby… je ne te crois pas ! Moi non plus. Oh, chérie, tu vas mieux ? Oui, bien mieux mais que disiez-vous ? Allez-y. Je vous écoute ? J’étais juste… Allez-y, Fred. Je supposais juste que Wally savait… le nom qui était dans la e enveloppe. L’autre héritier. C’est ridicule. Comment l’aurait-il su ? Personne ne pouvait. Quelqu’un le savait. Les enveloppes avaient été ouvertes… avant que Crosby n’arrive ce soir. Maintenant je sais ce qui est arrivé à Crosby. Il doit y avoir une entrée… du passage secret dans cette chambre. Quoi ? Oui. Crosby savait que Joyce était en danger ici… et alors qu’il voulait l’avertir… Quelqu’un l’a tiré derrière le panneau et l’a étranglé. L’explication est évidente… pour quelqu’un avec un peu de cervelle. Tu n’as pas besoin de nous insulter. C’était un plaisir. Peut-être préfères-tu finir cette discussion dehors ? Très bien, parfait. Eh, arrêtez ! Écoute, tu as donné à Wally les raisons… de tes soupçons. Ça suffit ! Une bagarre nous dira pas qui a tué Crosby. C’est ça l’important maintenant. C’est l’horloge. Ce n’est pas l’horloge. Cinq. Six. L’avertissement encore. Rien ne peut l’arrêter. La dernière fois que ce gong a sonné, Mr Crosby… Du calme, Cicily. Je vais dans ma chambre. Si Charlie veut bien monter avec moi. Certainement. Et nous serions heureux, Joyce, si vous nous rejoignez. Merci. Écoutez, tant qu’on ne peut prévenir la police… personne, en aucun cas… ne doit aller dans la pièce où est Mr Crosby. Qui le voudrait ? Qu’il le veuille ou non, c’est la loi. En attendant, je vais demander à Hendricks… de prévenir la police. Tu sais, tout ça sonne faux pour moi. Un tueur qui pense qu’il est un chat. As-tu déjà vu un homme ressembler et agir comme un chat ? Une femme, oui. Mais un homme… D’abord, comment savons-nous qu’un maniaque s’est enfui de l’asile ? Par le garde, Hendricks. Mais, comment sais-tu qu’il est garde ? Parce qu’il porte une casquette et un insigne ? Tu peux les louer n’importe où. Oui, mais pourquoi ? Pour effrayer tes jolies méninges, bébé. Oui, mais pourquoi ? Pourquoi ? Je l’ignore. J’aimerai bien savoir qui est le e héritier. Peut-être une femme. Voyons voir. Quelle femme avons-nous ? Mlle Lu. Mlle Lu, qu’en penses-tu ? Elle devait connaître ce panneau secret. Pourquoi a-t-elle vécu ici toutes ces années… si elle n’espérait pas… Qu’y a-t-il ?