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Il avait les mains attachées. Qui a commis le crime à votre avis ? C’est la question que je vous pose. Eberhard était un homme juste. Il ne se querellait avec personne. Non. Joel ? Oui, monsieur le commissaire. Vous êtes le valet dans cette ferme. Oui. C’est vous qu’on envoie faire les commissions. Chez l’épicier du Västerlånggatan. Vous pouvez vous asseoir. Nous sommes passés devant une maison, sur le chemin. Les métayers Nous n’avons rien à faire avec eux. Mais vous savez bien comment ils s’appellent. Åberg. Un homme et sa femme. De braves gens ? Je n’ai jamais eu de problèmes avec eux. Mais quelqu’un d’autre en a eus. Je n’ai pas dit ça. Quelqu’un a-t-il eu des ennuis avec les métayers ? Les voilà. Hélas, nous devons partir. Je suis le commissaire du district, je cherche votre mari. Je ne l’ai pas vu depuis hier. Il a menacé de s’enrôler dans l’armée. Vous n’avez pas l’air inquiète. Il est trop lâche pour être soldat. Il rampait devant ce porc. Quel porc? Eberhard Esperson, bien sûr. Eberhard. Il n’était pas très aimé. Nous allons retourner à la ferme. Le métayer, Åberg, s’était-il disputé avec Esperson ? Je ne colporte pas de ragots. Je suis le commissaire. Et lui ? Le métayer maudissait cet endroit. Il disait que s’il n’était pas au courant des secrets il serait heureux et reconnaissant. -Vous comprenez cette histoire de secrets ? Non. « Tout a été détruit », disait-il. Dåådh, venez voir. Vous voyez ces traces ? Elles vont vers l’intérieur, mais ne ressortent pas. Ce ne sont pas les traces de personnes à qui nous avons parlé. Reste là. Non ! Du calme ! Freund ! Freund ! Prends l’enfant. Où l’emmenez-vous ? A la ville. C’est nécessaire ? Qui est ce garon ? On dit que c’est un petit mendiant dont ils s’occupent. On l’appelle Furoncle Furoncle ? Ce n’est pas très malin. Aha… Sven Åberg. Pourquoi faudrait-il l’arrêter ? Pour meurtre. Savez-vous où il habite ? Il n’est pas chez lui. Où dois-je chercher ? Parmi les soldats nouvellement recrutés. Et l’enfant on l’arrête aussi? Arrête ça ! Nordin, laissez-le tranquille. Il n’arrête pas de faire des bêtises. Est-ce que quequ’un peut l’enfermer ? Je veux d’abord l’interroger. Qui est là ? Moi. Clara. Quelqu’un t’a vue ? Non. J’ai dit à Johanna que je triais le linge. Viens. Je suis presque prête. Là. N’aie pas peur. Tu as peur? Quoi qu’il arrive, je te suis reconnaissante. Tout va bien se passer. Magdalena et Clara sont-elles de retour ? Elles sont en bas, elles s’occupent du linge. Et voilà, chère Clara. Le plus dur est passé. Reste bien tranquille. Ma… Magdalena… Clara ! Clara. Non, non, non… Clara ? Clara, réveille-toi ! Dis quelque chose ! Non, non, non… Clara ! Elle n’arrête pas de saigner. Chocolat. Fait maison. Goûte. Non. Etais-tu dans l’écurie quand l’accident est arrivé ? Si tu me dis ce qui est arrivé, je te donnerai encore du chocolat. Dåådh, venez vite. Que se passe-t-il ? Elle saigne, c’est urgent. Qui ? Que dois-je faire ? Il faut la mettre debout. Plus haut que le cœur. Clara ? Clara ? J’ai une leçon. Je l’emmène. Prends garde qu’il ne s’échappe. Qu’ai-je fait ? Mme Wahlstedt. Qu’ai-je fait ? Allons… Je serai condamnée pour meurtre. Et mes enfants… Magdalena, personne n’en saura rien. Nous allons tout nettoyer. Tout ira bien. Clara ? Clara… Elle respire. Mlle Clara? S’il te plait, reste calme… Tout est de ma faute. J’ai demandé à Freund de le faire venir. Il a sauvé la vie de Clara. Mme Wahlstedt a fait ce qu’elle pensait juste. Elle a oublié de demander si j’étais de son avis. Si on apprend que la femme du chef de la police se livre à des…infanticides dans une buanderie ! Le châtiment… …cela sera… Personne n’accusera Mme Wahlstedt. Vous n’en direz jamais un seul mot. Jamais. A personne. Pour vous deux, je n’en parlerai jamais. Maintenant allez-vous en, Dåådh. Clara a tenté de se pendre dans sa chambre. Elle est passée très près. L’enfant n’est pas de sa faute. Elle a été agressée par trois hommes dans les bois. Qu’est-ce qu’elle faisait dans les bois? Pardon. Pardonnez-moi. Je dois aller voir Clara. Satan ! Il est ici. Qui ? Le soldat que vous recherchiez. Sven Åberg. Il attend dans sa cellule. Elle était tout le temps fourrée à la ferme. Je voulais savoir ce qu’elle faisait. Qu’a-t-elle dit ? Qu’elle ne supportait pas que je rampe devant ce type. Eberhard. Que j’étais un lâche. Vous vouliez lui prouver le contraire. Oui, l’infidélité d’une femme rend un homme impuissant. Vous êtes allé le voir. Il a nié. Et vous vous êtes mis en colère. Vous étiez en colère, et vous l’avez frappé. Oui. Qu’a-t-il fait ? Il a ri et il a dit: « Tes coups ne m’impressionnent pas. J’ai l’habitude. » Tout est devenu noir. Vous l’avez frappé. Puis vous avez mis le clou dans le sabot du cheval, et vous avez attendu. Quoi ? Vous avez tué Eberhard Esperson. Non. C’était l’homme que désirait votre femme. Non, elle ne s’intéressait pas à lui. M. Esperson m’a parlé de son manège. Mais vous avez dit… Avec son fils Edvard. Commissaire. Commissaire ! Clara est réveillée. Je vais me préparer pour la réception d’anniversaire. Je ne suis pas prêt. Je vous en prie Carl-Fredrik