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RCF Pays Tarnais 99.6 FM Albi

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Ça n’a rien à voir avec elle. Ce n’est pas grave. On ira où tu veux. Ça va encore t’encombrer quelques jours. J’aime mieux ça. Je me sens tout nu, maintenant. Il n’y avait pas grand-chose de moi. Cet appartement, c’était toi. Ça va changer très vite. Vous allez être heureux, ici. Adieu, mon caporal. Dès que je suis installé à Londres, je t’écris. Tu viendras ? Pardon. Vous viendrez ? C’est arrivé quand ? Il est alité depuis semaine. Et tu me préviens aujourd’hui ? Dès que j’ai su. Maman ne voulait pas nous alerter pour rien. Alors c’est grave. Ça peut le devenir. Le médecin parle d’une grippe intestinale. Mais il était déjà fatigué. Ton mariage et celui de Gilbert, ça fait beaucoup d’émotions. Je ne vois pas le rapport. Débarrasse-toi. Je vous sers quelque chose ? Je peux le voir ? Maman est avec lui. Elle ne le quitte pas. Il faudra aussi que nous parlions. De quoi ? Ses affaires ne sont pas brillantes. Si un malheur devait arriver Radio Je suis là. La lumière te gêne ? Dis-moi. Ils ont regardé les comptes, sans rien me dire, bien sûr. Il paraît que la situation est désastreuse. Mon père a spéculé sur des cours qui se sont effondrés. Il ne reste rien. Absolument rien. Juste l’appartement et la cagnotte de ma mère dont ils disent tout ignorer. De toute façon, je n’espère rien d’elle. Tant que ton père est vivant Radio Ils l’ont déjà enterré. En attendant, ils me privent de ma pension. Qu’est-ce que tu vas faire ? Comme tout le monde, ma chère. Je vais travailler. Ne t’en fais pas. J’apprendrai. Tu as changé. Le mariage t’a changé. C’est toi qui es différente. Il te plaît ? Edmond me gâte beaucoup. Tout le monde va bien, quoi. Tiens. L’adresse des bureaux. J’ai noté des renseignements utiles. Présente-toi dès que possible. Merci. Ne garde pas la carte. C’est celle d’Edmond. Inutile qu’il sache. Enfin, pas un mot sur nous deux. Il est jaloux ? Il a horreur des faveurs. C’est un poste modeste. Je sais que tu mérites mieux, mais c’est un début. Je dois y aller. Je t’appellerai pour te dire. Non. Bonne chance. Tu te souviens de ce service ? Tu penses que je peux les prendre ? On ne se sert plus de ce qui est ici. Tu peux tout prendre. Il y aura du monde ? Je ne sais pas. Tu seras là, toi. Tu as invité Solange ? Elle ne viendra pas. D’abord, elle dit oui, et puis elle trouve un prétexte. Je crois qu’elle veut voir personne. Moi, je peux venir accompagnée ? Toi ? Oui, bien sûr. Dis-moi qui c’est. Le neveu de Robert Blachet. Tu sais, Robert Blachet, le type que fréquente Odile. Je l’ai connu par lui. Vous vous voyez souvent ? Il s’appelle comment ? Blachet aussi. Henri. On est fiancés. Enfin, pas tout à fait. Et tu me dis ça maintenant ? On ne se voit jamais ! Tu ne vas pas te marier à ans ! Mais je m’ennuie, moi, ici. C’est tellement triste, depuis que tu es partie. En sortant du bureau, je suis tombé sur Lennart. « Lennart » ? Tu sais, un camarade de régiment. Il venait ici, autrefois. On est allés boire un verre, et en discutant, comme ça, il me dit que son père veut lâcher son usine. Il a une usine de clous à Ivry assez importante et Lennart voudrait la reprendre. On s’en ouvre une ? Il a besoin de quelqu’un. Du coup, je lui ai dit que ça m’intéressait. Il va t’embaucher ? Mieux que ça. Il m’a proposé de m’associer à l’affaire. Il vient ce soir en parler. Je suis fait pour être patron. Est-ce que vous êtes heureux ? Qu’est-ce qui te prend ? Vous pouvez quand même me dire si vous êtes heureux ! Antoine, verse-moi à boire. Je vais te tutoyer, maintenant. Fais-moi danser. Cinq, quatre, trois, deux, un Radio Bonne année ! Bonne année ! Bonne année, ma chérie. Bonne santé. Oui. Allô ? Oui. C’est magnifique. Vraiment. Tu as toujours su te débrouiller. Tu n’es pas venu ici pour admirer trois machines. Non ? Je voulais te voir. Nous n’avons jamais le temps. Qu’est-ce que tu dirais de venir dîner à la maison, un soir, avec Marianne ? Allons, Pascal, viens-en au but. D’où te vient cet intérêt pour nous ? La somme doit être importante. Mais de quoi parles-tu ? De ces marques d’affection soudaines, de ces compliments. Je croyais être un dilettante et un incapable. Ne dis pas non. C’est la chose la mieux partagée, chez les Carmontel. J’en déduis que, mes affaires s’améliorant et les tiennes déclinant, tu es venu me demander de l’argent. Alors combien ? Je n’en suis pas encore là. Tant mieux. Autre chose ? J’ai besoin de l’appartement de maman. C’est l’affaire de quelques mois, un an tout au plus. En économisant sur le loyer, je pense pouvoir m’en tirer. Naturellement, elle resterait avec nous. Tu as mon accord. Je suppose que tu as déjà celui de Gilbert. Merci. Qu’est-ce que tu fais ? Je te guettais. Dans les escaliers ? Je sortais. Je n’ai pas vu Marianne depuis des mois. Elle n’est pas en état de te recevoir. Mais dès qu’elle aura accouché. J’aimerais tant voir l’enfant. Ça ne peut que te faire du mal. Mais je ne suis pas malade. Je ne comprends pas. Solange, ma chérie, tout ce que je fais, c’est pour toi. J’ai l’impression d’être dans une prison, dans un cercueil. Je ne peux rien faire, je ne peux voir personne. J’ai l’impression d’être morte. Le docteur saura te calmer. S’il te plaît, non. Non. Je me calme. Je me calme. Regarde, je t’obéis. Je suis tout à fait calme. Chérie Radio c’est fini, je suis là. Chut. Chut. Tu restes dîner ? Pas avec tout ce monde. Allez, reste. Il y aura Évelyne et Henri. Je vais passer à l’appartement voir où en sont les travaux. Et toi, ici, ça va ? Il n’y en a que pour le bébé. J’ai hâte de rentrer à la maison. Ce sera fini quand ? Demain, je passerai plus tôt. Je verrai la petite. Tu nous manques. C’est l’usine de mon père. Tu sais ce qu’elle était, à notre arrivée. Les choses vont mieux aujourd’hui grâce à moi. J’y suis aussi pour quelque chose. Rappelle-toi ce que ton père m’a dit Radio nous a dit, quand nous avons décidé de nous associer. Il m’a toujours traité comme un incapable. Et toi, qu’as-tu fait, pour lui prouver le contraire ? Tu vas trop loin. J’ai été généreux avec toi. Nous avons deux solutions. Ou bien je te revends mes parts et je monte mon affaire et ce sera à celui qui l’emportera Radio Ou bien Radio?