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Alpes 1 90.9 FM Gapennes

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Alpes 1 90.9 FM Gapennes Écouter

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les jours. Ouais. Moi, je veux faire ça. On a un problème avec le tapis cardio. Vous l’avez réinitialisé ? fois. Et Radio ? Les chiffres sont incohérents. Vous avez contrôlé manuellement ? Ah non. C’est pas la machine. Patrick ! Tu peux venir voir, s’il te plaît ? Ça va t’intéresser. Tu me la refais, bonhomme ? Et . À chaque fois. Et à plat, il fait combien ? Je sais pas. Ça fait une demi-heure. Qu’est-ce qui se passe ? Votre fils a un coeur extraordinairement lent. Tu fais du cyclisme ? Non, du tennis. Tu devrais faire du vélo ou de l’athlétisme. T’es prédisposé pour ça. La nature est injuste. Ce jeune homme a un coeur rare. C’est son héritage physiologique. Vous êtes sportif aussi ? Oui. Enfin, je l’étais. C’est vrai que j’avais un bon coeur. Vous faisiez du tennis, aussi ? Non, pas du tout. Je jouais au foot, en équipe de jeunes, seulement. J’ai joué en cadets nationaux, et puis en division d’honneur. Blessures ? Non. J’avais pas assez envie. Quand je suis arrivé au centre de formation, je me suis mis à sortir. Le train est parti sans moi. On a rarement fois sa chance. Je me plains pas. Après, j’ai rencontré ma femme et Radio j’ai trouvé un boulot que j’aimais. C’est bien, aussi. Le sport, ça vous a jamais manqué ? Ce qui manque, c’est l’adrénaline, la compétition. Mais on compense. Dans mon métier, j’étais toujours sous pression. On retrouve ces sensations. C’est bien, le tennis. Merci. Ça demande énormément de qualités. Et là, avec le coeur qu’il a, il va être inusable. Tu te dépêches, Ugo ? Si t’es pas prêt, je pars sans toi. J’ai un rendez-vous. T’as mis ton fameux T-shirt ? Celui de Federer. T’as intérêt à être à la hauteur. Je te fais ça, regarde. Oh, regarde ! Je te fais ça. T’as regardé. T’as pas le droit. T’as compris ? Sinon l’autre, bam ! C’est une bronchade. Et si je te fais ça et que tu vois que je le fais sans regarder, si tu sens que je le fais, tu dois mettre ton doigt dedans. Et ensuite, si tu l’enlèves vite, tu m’en dois . Mais si, après, tu le mets et je te coince Radio Si tu restes coincé pendant, par exemple, secondes, eh ben, t’en as . , . Hop ! T’as compris ? J’ai rien compris. Quand on te fait ça Radio Il faut pas regarder. T’as mis le doigt, t’as compris. , , , , , , , , , . Je t’en dois . Bonjour à tous. Bonjour. Une petite seconde d’attention, s’il vous plaît. Je vous présente Ugo, qui finit la saison avec vous. Salut, Ugo. Vous avez le droit de dire bonjour. On le connaît pas. Ben, justement. Dis bonjour. . aussi. . . . . Tu me reprends ça, Loris. Tu vas chercher plus haut encore. Voilà. Ça, c’est bien. . La praline, mec ! Tu m’apprends ? C’est énorme. Allez, on continue. Bien joué, mec. . Tu pars sur combien d’articles ? références, avec remplacement des ventes à J+. Ça te fait un stock Radio À mois. Et tes fournisseurs ? Je travaille en direct, avec exclusivité sur la gamme. Y compris pour les marques ? Oui. Combien de collections ? par an, avec thème promotionnel par semaine. L’idée, c’est de démarrer à la rentrée avec une promotion forte pour lancer la marque et atteindre les ers objectifs pour les fêtes de Noël. T’as préempté le magasin ? Oui. On est hors galerie marchande, en espace autonome et dans une zone inconstructible. J’ai repéré d’autres espaces avec les mêmes caractéristiques. Même fréquentation ? Même fréquentation. Des obligations de reprise sur le personnel ? Aucun engagement. On peut foncer avec nos équipes ? Aucun problème. C’est une proposition intéressante. On doit l’étudier. On se revoit mardi. C’est bon ? Très bien. Bien. Merci, Jérôme. Merci à vous. Voilà. m² au sol, mètres de bureaux dans les coursives Radio Tu vendras des outils ? Non. Je vais vendre des chaussures. Autant de paires de chaussures que tu voudras. Il faut tout réinventer. Tu pourrais maquetter l’implantation des rayons. Je ne sais plus faire ça. Qu’est-ce qui se passe ? Je sais pas. Ça va pas ? J’ai l’option sur le magasin. On a le droit d’être contents, non ? Je comprends rien. Il y a rien à comprendre, juste à être content. Juste être content. Mais tu vas faire comment pour acheter ce magasin ? Aucune banque ne va te suivre. Je sais. Les banques refusent de me recevoir, mais c’est pas grave. Tu vas faire quoi pour l’argent ? J’ai demandé à Devianne. Ils consultent ma proposition. Je suis sûr qu’ils suivront. Mais tu voulais plus rien faire avec eux, tu voulais pas de chef. Là, c’est différent. Je suis apporteur d’affaire. On est sur un pied d’égalité. J’aime ça, les supermarchés. J’aime quand les parkings sont pleins, quand il faut fermer les portes parce que c’est les soldes. J’adore ça. J’adore quand les gens viennent en famille, que les enfants ouvrent des grands yeux devant les rayons gâteaux. Ça me touche, ça m’émeut, ça me plaît. J’ai pas envie de finir dans un bureau, loin du terrain. Ça serait pas moi. Oui, je sais. Excuse-moi, je suis fatiguée. Pleure pas. Pleure pas. Tout m’inquiète. Ne t’inquiète pas. C’est un immense plaisir, d’inaugurer avec vous, M. le maire, et avec vous tous, cette médiathèque. L’édifice se veut frugal en consommation d’énergie, avec ce système de baies vitrées à parois