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FG DJ Radio 94.1 FM

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J’aime ta façon de rugir radio quand radio  » Veuillez m’excuser, Mlle Diane. Je crois que quelque chose brûle. Je sais, Edgar. C’est moi. Oui, mais radio Quoi ? Alors va au pressing le récupérer. Tu ne me sers à rien sans le frac. Pardonnez-moi, mais j’ai un frac. Ici ? Oui, dans la cuisine. Edgar, vous me sauver ! Allo, George, oublie tout mais rapplique. C’est la débâcle. On doit frapper. « Mon lion passionné, mon extase est quasi insupportable. Merci, merci. Le vison vient juste d’arriver. Il est là sur le lit, à mes côtés radio Lustré et chaud comme radio  » Trésor, où es-tu ? Bonjour, chérie. Non, non. Mais radio Salut, Ellen, ça va ? Je n’ai pas le moral et pense n’être pas la seule. Qui peut être malheureux par une belle journée comme ça ? N’est-ce pas une belle journée ? Parfaite pour la traque. Je crois que je ferai mieux d’y aller. Oh, non, ne pars pas. Tu brûles de rester seul. Oh, non. On n’est pas radio Je veux dire, euh radio Tu ne restes pas déjeuner ? Non, merci, Harry. Après tout, c’est votre dernier repas ensemble. Avant votre mariage. Au revoir, ma belle. Au revoir. Au revoir, Harry, grand fauve. Roi des animaux. Faudra que tu m’expliques. Quoi ? Le lion s’est égaré dans l’obscurité de la jungle ? Jungle ? Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver radio Peut-être cette petite chose va t-elle t’éclairer, mon lion passionné. Rappelle-toi, celui-ci, c’est son frac. Bon, mon frac est le sien. Parfait. Et son frac est le mien. Et radio Et sa lettre radio Est à moi. Je n’y comprends rien. Alors ? Elle, elle, elle radio D’où elle radio Tu sais parfaitement d’où elle vient. De la poche de ton frac. Diane, je ne radio Arrête ça et fini tes phrases ! Avoue. Avouer quoi ? Le lion dans sa tanière. Il y a quelqu’un ? George ! Salut, George. Comment vas-tu ? Qu’est-ce qui t’amène à cette heure ? Ce sera à toi de me le dire. Bonjour, Diane. Bonjour, George. Oh, ai-je interrompu quelque chose ? Comme on dit radio Oui. C’est direct comme réponse, mais là, tu reconnais ma présence, choses rare. Mais tu attendras jusqu’à ce que je suive ce cours de personnalité. Bon, salut les amis. Eh, George, ne t’en vas pas. Je repasserai plus tard. Ne fais pas l’idiot. Ne pense même pas à partir. D’abord, pourquoi es-tu venu si tu repars déjà ? Oh, je vais attendre. Mais pourquoi attendre. Viens, George. Dis-nous de quoi il s’agit. Eh bien, c’est juste qu’après la mêlée au football de la nuit dernière. J’ai pris le mauvais frac. T’as fait quoi ? J’ai ramené ton frac chez moi par erreur, et suis venu récupérer le mien. Le garçon d’honneur se doit de porter son propre frac. Oh, regarde, il est là. Maintenant, tu comprends ? George, répète ça. J’ai ramené le frac d’Harry chez moi par erreur. Tu veux dire radio Tu veux dire radio que ce frac est à toi ? Oui, il ressemble au mien. Oui, oui radio Certainement, c’est ça. Mes cigarettes et mes allumettes. George ! Mon mouchoir. Un ticket de vestiaire. George radio Es-tu sûr que c’est bien ton frac ? Je reconnais mon propre frac quand je le vois. Tu ne l’as pas reconnu hier soir. Eh bien, je n’étais pas vraiment au meilleur de ma forme, hier soir. De plus, Harry et moi avons la même taille. Exactement, on fait exactement la même taille. Mais oui, c’est vrai, n’est-ce pas ? Et la même constitution. Sauf que radio je crois radio que les épaules de George sont un tout petit peu plus larges. Harry, pourquoi ne courres-tu pas mettre ton pantalon ? Ce n’est pas une mauvaise idée. Un rasage ne serait pas mal non plus. Non, sûrement pas. Un rasage beau et propre comme celui de George. Allez, vas-y, vas-y. D’accord, j’y vais. Tiens compagnie à Diane pour moi. Bien sûr. Un chic type. C’est le meilleur ami qu’on puisse avoir. Il fait tout par toi. À toute à l’heure. Pourquoi fais-tu ça ? Pour que tu te sentes à l’aise. Ça semble faire l’effet contraire. Pourquoi me regardes-tu ainsi ? Tu ne m’as jamais vu auparavant ? Non, je ne pense pas. Du moins, pas sous cette lumière particulière. Pourquoi te caches-tu derrière cette table ? Eh bien, c’est la première fois que je me retrouve seule avec un lion. Un lion ? Moi ? C’est ainsi que l’écureuil t’appelle, non ? L’écureuil ? Tu sais. Ne me dis pas que tu l’as déjà oublié. Oh, l’écureuil. Oui, bien sûr. Le petit écureuil. George, tu me surprends. Moi aussi, je suis étonné. Tu es vraiment différent de l’image que j’avais de toi. J’ignorais que tu avais un avis sur moi. Si, j’en avais un. Je croyais que tu étais terne. Oui, c’est le mot. Terne. Que tu restais le soir chez toi, pour résoudre des problèmes d’échecs. Tu sais, mat en coups et ce genre de choses. Mais maintenant radio Mais radio Tu ne crois plus que je suis terne. Je ne crois plus que tu es terne. Ni que tu joues aux échecs. Ou que tu aies des problèmes. Oh, si, j’en ai. Les lions n’ont pas de problème. Ils sont libres et sans complexe. Je peux te voir maintenant, quand tombe la nuit radio te déplaçant silencieusement dans la jungle sur tes douces pattes. Vraiment ? Tes yeux brillent. Ta crinière louvoie alors que tu te glisses furtivement. Pour arriver, finalement là radio Où ça ? Cesse de m’interrompre. Tu es là. Je peux te voir à la porte. Non, je ne te vois pas. Tu frappes à la porte ou tu sonnes ? Non, je fracasse la porte. Mais ça ne fait pas mal ? Une fois, je me suis démis l’épaule, mais ce n’était qu’une égratignure. Dis-moi, George. De quoi parliez-vous tous deux ? On discute juste des sujets d’actualité. Est-ce que tu rugis comme elle le dit ? Oh, ça. Oui, naturellement, le lion rugit. George, rugirais-tu maintenant ? Non, je ne suis pas d’humeur. Allez, George, s’il te plaît. Juste pour moi. Non, je me sentirais stupide. George, s’il te plaît. Ce n’est pas un lion, c’est un Pékinois. Tu as peur, hein ? Oh, je n’ai pas peur. Ne sois pas idiot. Je veux dire radio C’est radio Attends. Une minute radio Les lions peuvent être apprivoisés, aussi. N’oublie pas. Recule, recule. Allez, recule. Recule. Recule, allez, recule, recule. Recule. Couché, couché. Voilà. Ça, c’est un bon lion. Oh, nous les lions on a aussi nos moments doux. Et le lion se couchera avec l’agneau. Et tout ça. Non ? Le lion se couchera avec l’écureuil.