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Radio NRJ 100.6 FM

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J’aurais pu agir différemment, peut-être. On a fait chambre à part pendant tout le voyage, je te jure. Où est David, maintenant ? Il s’est tiré, dès la faillite. Je le crois pas ! Il n’en voulait qu’à mon fric, c’est sûr. Il va falloir tout recommencer. Et sur tous les plans. Tu veux toujours de moi ? Comment peux-tu poser la question ? Je suis fou de toi. Tu es ma déesse, je suis dingue de toi. Oui, je te veux. Mais on n’a plus un sou. On ne possède même plus un morceau de ce canapé. Je peux te montrer quelque chose ? Reste là, je vais te montrer. Je vais te montrer. Tu vas être très très fière de moi. C’est à Chi Chi Potter ! C’était à Chi Chi, c’était ! Le mot clef est « était ». ai jamais été aussi heureux. J’étais dans le coup, je me sentais revivre. Tu m’entretenais avec tes cookies radio C’est du verre ! Comment ça, du verre ? C’est du toc. Comment tu peux savoir ? Ca se voit. C’est même pas du bon toc. Mais comment ça, c’est du toc ? Ca pourrait flouer un crétin sans yeux et sans cervelle radio mais pas quelqu’un de normal. Tu veux dire que j’ai pris le faux, que j’ai pas pris le bon ? Ca te ressemble. T’es dingue ! J’étais dans la pièce radio je mettais celui en verre à la place du vrai et puis tout s’est brouillé. Je vois que ton instinct est toujours aussi bon. Tu te trompes. Tu prends plein de leçons, tu crois que tu as du goût radio Attends-moi ici. Tu crois que tu as de la classe, mais tu connais rien aux bijoux. On fourgue ça et on s’offre la Floride. C’est du vrai ! Ca nous paiera même pas le métro, encore moins la Floride radio Madame je-sais-tout ! Pas besoin d’être un savant pour voir que c’est bidon. Celui qui l’a fabriqué t’a arnaqué. Qu’est-ce que je te fais si tu as tort ? Je tords ton nez jusqu’à ce que tu suffoques ? Bien sûr. Tu l’as cassé ! C’est du verre. Je sais, mais radio Je vais pas nettoyer ! C’est toi qui l’as cassé, y a du verre partout. C’est dangereux ! Qu’est-ce que tu trouves à un bousilleur comme moi ? C’est du verre ! J’ai pris le collier de verre. Ce qui compte, c’est d’être ensemble. On s’est séparés un moment et ça m’a fait comprendre combien j’ai besoin de toi. Mais tu es mariée à un loser ! C’est du verre. Je suis une grande veinarde. Et une grande fauchée. C’est la dèche, on n’a rien. Comme d’habitude, je finis sans un. On peut mettre ça en gage. Qu’est-ce que c’est ? C’est quoi, ce truc ? Qui est le duc de Windsor ? On peut le vendre aux enchères. D’où ça vient ? De David. David t’a offert ça ? II le sait pas encore. Je comprends pas. C’est toi qui m’as appris à ouvrir un coffre. C’est un des meilleurs souvenirs de notre vie. Tu as piqué ça dans le coffre de David ? Mais c’est du vol ! Pas exactement. C’est une longue histoire. Vendons-le et je te raconterai dans l’avion pour Miami. Chérie, c’est toi radio La plus grande première de la saison radio Tu les as tenus dans ta paume d’un bout à l’autre, comme ça ! Paul, qu’est-ce qu’il y a ? Où vas-tu ? Chef ! Attendez ! Chef ! Dépêche-toi, ils t’attendent ! Allez, Paul, ils te réclament ! Où vas-tu ? Tu es fou ! Tu vas devoir saluer au moins une douzaine de fois. Impossible ! Où est Luther ? Luther ? Écoute, tu ne peux pas me faire ça ! Que vais-je leur dire ? Que tu es devenu dingue ? Que je refuse de quitter mon rôle. Quel rôle ? Celui du cadavre. Je suis mort, tu t’en souviens ? Allons, chef, s’il vous plaît. Attends, un peu. Je suis ton manager et j’ai le droit de savoir. De quoi s’agit-il ? Va à mon appartement et attends. Je t’appelle si j’ai des nouvelles. Foncez, Luther. Patron, vous étiez au top, ce soir, Cette dernière scène était formidable. Ça ne m’intéresse pas. Combien de temps ça va prendre ? minutes, si on est pas arrêtés. Bien. On y sera dans minutes. Allez, dites-moi ce qu’on raconte. Juste ce que je vous ai dit. Vous êtes vernis de vous être débarrasser d’elle, l’an passé. C’est un aperçu. C’était plus que de la chance. C’était une bénédiction. Pourquoi ai-je eu trois fours de suite ? Car elle croyait pouvoir bien jouer. Dès que j’entre en scène, sans elle, regarde, je fais un tabac. Vous l’avez dit, patron. Mais ce qui je me choque est que vous vouliez encore tout recommencer. Peu importe. Pourquoi ralentissez-vous ? Accélérez. Bonsoir, Monsieur. Je vous prie de m’excuser, êtes-vous invité ? Oh, M. Orman ! Comme c’est gentil à vous. C’est bon, Larry. Je suis si heureuse de votre venue. Bonsoir. Imbécile. Pourquoi es-tu venu ? L’amour me rend parfois aveugle. Après ce que j’ai vécu aujourd’hui. S’il te voit, comment va-t-il réagir ? Qui ? Ton mari ? Oui. Combien de fois devrais-je te dire ce que j’ai traversé l’an passé ? Ma vie m’appartient. Il nous suspecte constamment. À la simple mention de ton nom, il délire comme un fou. Quel dommage ! La folie doit te mettre les nerfs à rude épreuve. C’est pathétique. Ce n’est pas le moment de plaisanter. Je t’en prie, va-t’en. J’avais tout méticuleusement préparé pour nous, et là, tu vas foutre en l’air, tout ce que j’ai fait. Tu es si désorientée que tu ne m’as même pas demandé comment était la première. J’avais une première ce soir, tu t’en souviens ? Oh, pardonne-moi, comment c’était ? Un tabac, on a mis le feu sur scène. Et toi ? À mon sommet. J’en suis ravie. Merci. Pars, s’il te plaît. Je serai demain en ville à h pour te voir. Oh, vraiment ? Bien sûr, comme on avait prévu. Petite menteuse hypocrite ! Paul, tu es fou ! Tu me vois demain, hein ? Non, ma chère, toi vivante, tu ne me verras ni demain, ni jamais plus. À moins que tu n’achètes une entrée au guichet. Je te dis au revoir pour toujours. Tu es venu ici pour dire au revoir ? Non, je suis venu ici pour te supplier, t’enlacer, t’embrasser, et tomber à tes pieds. Apparemment, tu as changé d’avis. Oui, car tu as encore menti. Sais-tu ce qu’est de regarder les yeux d’une femme, alors qu’elle ment ? Pardonne-moi, je devrais être plus tolérant avec une menteuse.