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Ce sont des crimes qui ont été enterrés par les vainqueurs, sous une montagne de propagande et de mensonges, depuis maintenant plus de ans. Ce film n’est pas seulement dédié aux victimes muettes de la pire guerre du monde, mais également aux futures générations. Notre espoir est que, si suffisamment de bonnes personnes dans le monde sont prêtes à écouter et ;à apprendre ce qui est effectivement arrivé à ces victimes innocentes les hommes, les femmes, les vieux, les jeunes, les malades et les animaux alors un jour prochain, elles se lèveront comme un seul homme, et d’une seule voix, demanderont qu’une telle chose ne se reproduise plus jamais, envers quiconque, et où que ce soit. LES BOMBARDEMENTS DE TERREUR Pendant la Deuxième Guerre mondiale, l’Allemagne fut soumise à un assaut implacable du ciel. Les Américains et les Britanniques l’appelaient  »Tapis de bombes »,  »Saturation de bombardements » ou  »Bombardements sans restriction ». Cependant, les femmes et les enfants allemands qui ont souffert ce cauchemar l’appelaient d’un nom plus simple, plus précis Les Bombardements de Terreur ». La campagne de terreur n’était pas un accident. C’était le plan secret du Premier Ministre britannique Winston Churchill et du Maréchal en Chef de l’Air, Harthur Harris, de libérer la pleine puissance de la Royale Air Force contre les civils allemands, d’infliger autant de dégâts, de détruire autant de maisons et de tuer autant d’hommes, de femmes et d’enfants que possible. W. Churchill Les villes allemandes seront soumises à une épreuve sans équivalent, qu’aucun pays n’a jamais vécu, dans le temps, la sévérité ou l’ampleur. Afin d’y parvenir, il n’y aura pas de limite à notre violence. » La violence de Churchill fut complètement exposée dans la nuit du juillet . Pour les résidents de Hambourg, une ville de plus d’un million d’âmes, le raid aérien parût, tout d’abord, comme un passage standard de bombardiers. Mais bientôt, des centaines d’avions ennemis commencèrent à faire pleuvoir des tonnes et des tonnes d’explosifs, sur le cœur même de la ville de Hambourg. Les écoles, les églises, les hôpitaux, les maisons, l’art et l’architecture antiques, tout fut réduit en miettes. L’assaut augmentait en furie à chaque vague successive des bombardiers, laissant apparaître, minute après minute, crescendo, des feux dévastateurs. Et puis, les avions disparaissaient, soudainement. Le ciel était à nouveau dégagé, et tout, au-dessus, redevenait silencieux. Lorsque les survivants étourdis, émergèrent de leur cave plus tard cette nuit là, ils virent que leur ville, autrefois magnifique, était maintenant un tas de ruines fumant. Le lendemain, alors que les pompiers de tout le Nord de l’Allemagne combattaient le brasier, les bombardiers alliés réapparurent soudain au-dessus de Hambourg. Comme prévu, les Américains surprirent, non seulement les travailleurs d’urgence, mais également les colonnes de réfugiés qui fuyaient. Des milliers périrent. La nuit suivante, les bombardiers de la Royale Air Force revinrent. En plus de la charge normale d’explosifs, les Britanniques lâchèrent des tonnes de bombes au phosphore pour accélérer les feux. L’incendie qui en résultat déclencha une  »tempête de feu ». Des vents, de type ouragan, créés par la chaleur intense, déracinèrent les arbres, arrachèrent les toits des bâtiments et aspirèrent les cris des victimes dans le brasier. Certains, qui avaient échappé aux vents de km/h dans les rues, se trouvèrent embourbés dans l’asphalte et s’enflammèrent rapidement. Ceux qui s’étaient jetés dans les canaux de la ville, moururent du rayonnement thermique, puis, alors qu’ils flottaient à la surface de l’eau, eux aussi s’enflammèrent. Au cœur de la tempête de feu, la température atteignait degrés Celsius. Quand les flammes, en masses immenses, se rejoignirent, elles s’élevèrent en une colonne de près de km de haut. L’attaque contre Hambourg continua sans relâche encore une semaine. Bientôt, il ne resta plus rien à détruire. Nommée, de façon appropriée, par les Alliés  »Opération Gomorrhe », les raids furent une tentative froide et calculée de rayer Hambourg et ses habitants de la surface de la terre. Le plan fut une réussite. Avec plus de km de destruction totale, sans abri, un nombre estimé de à morts, principalement des femmes et des enfants, Hambourg, à toutes fins utiles, avait cessé d’exister. Il était désormais clair pour tous, que la guerre aérienne des Alliés, contre l’Allemagne était devenue une guerre de massacre et de terreur. La même chose fut répétée maintes et maintes fois à travers l’Allemagne. Toutes les villes allemandes souffrirent de la même chose. Après avoir, dans un premier temps, réduit une ville en miettes en la dynamitant, les bombardiers alliés revenaient rapidement, dans l’espoir d’attraper des survivants et les secouristes exposés et d’enflammer avec des bombes incendiaires tout ce qui restait. Lorsque les bombardiers rugissant libéraient leur cargaison mortelle, une véritable pluie de feu s’abattait sur la ville ciblée. Les milliers de petits feux se réunissaient pour former un immense brasier, créant un tourbillon intense de vents et de flammes. Kate Hoffmeister Je luttais pour courir contre le vent au milieu de la rue. Nous ne pouvions pas traverser, car l’asphalte avait fondu. Il y avait des gens sur la route, dont certains étaient déjà morts. Certains étaient allongés encore en vie, mais piégés dans l’asphalte. Ils étaient sur leurs mains, leurs genoux, hurlant. » Certains ont miraculeusement survécu à l’enfer et à se mettre en sécurité dans les rivières, les canaux et les parcs. Des milliers d’autres, cependant, ne le purent pas. Quand les raids finalement s’arrêtaient et les tempêtes de feu commençaient à diminuer, les secouristes se précipitaient pour libérer ceux restés bloqués sous terre. Quand les secouristes arrivaient finalement à passer au travers des bunkers enterrés, ils découvraient des scènes d’une horreur inimaginable. Dans les caves, qui avaient été frappées directement, les murs étaient inondés de sang, d’os, de cerveaux et de morceaux de corps étalés partout. Les sauveteurs qui entrèrent