FavorisMes favoris

Radio France Bleu Basse Normandie 102.6 FM

radio-ing.png
Radio France Bleu Basse Normandie 102.6 FM
1 Star2 Stars3 Stars4 Stars5 Stars

Radio France Bleu Basse Normandie 102.6 FM Écouter

Radio France Bleu Basse Normandie 102.6 FM en ligne écouter en direct Radios françaises La qualité et la diffusion en continu.

M’a donné un restaurant. Je pensais prendre soin de ma famille. Et me voilà. Mme Hoffman, écoutez, c’est très simple. Si vous laissez les clés sur la voiture, la voiture disparaît. Vous ne payez plus la voiture. Mon cousin Nicky la récupérera. Il a une casse illégale. Vous avez une autre idée ? J’essaie juste de vous aider. Je suis en conditionnelle. Je ne peux pas parler de ça. Tu ne vas jamais me croire jeux Écoute ça. Quoi ? Gotti. « Si je devais cambrioler une église « et ressortir avec une flèche dans mon jeux  » « mon cul, je ne plaiderai jamais coupable. » « dans mon cul jeux Jamais coupable » ! Vous avez lu ça ? J’adore Gotti. Il est dingue ! Il est génial. On suit. Vous aussi ? Oui. Vous suivez le procès ? Nous aussi. Oui ? C’est aujourd’hui, en ce moment. C’est en cours. Si on n’était pas là, on serait au tribunal. N’importe qui peut y aller ? Oui. On entre comme ça. Sans badge ni rien ? Non, n’importe qui peut entrer. N’importe qui ? Vraiment ? Oui. On devrait y aller. M. Lovell, vous trouveriez ça très fascinant. J’imagine. Je le sais à cause de votre esprit. Je ne peux pas et vous non plus. On travaille. C’est moi le patron. Je ne comprends pas, vous êtes le patron. Seul le patron peut faire ça. Je ne peux pas. Tu dis à ce minable que moi, John Gotti, je vais te trancher la tête, enfoiré ! M. Gravano, pouvez-vous nous expliquer les mots de M. Gotti ? John était en colère. Un des hommes refusait d’aller au Steak House de Spark. Parce qu’il n’aimait pas ? C’est la balance, Sammy the Bull. La viande chez Spark est bonne. Il ne voulait pas être impliqué dans le meurtre de Paul Castellano. Pourquoi ? C’est génial. Vous avez l’air content. La seule façon de tuer un patron est que les autres patrons soient d’accord. M. Gotti a dit qu’il allait demander la permission. Il allait au club Waikiki pour mettre ça au clair. C’est le club sur la e dans le Queens ? Le bistrot de Big Al. M. Gotti a-t-il eu la permission de tuer M. Castellano ? Non. Al jeux Vous parlez d’Alfonse Fiorello ? Oui. Big Al lui a dit de dégager. Ce n’est pas facile d’avoir la permission de buter un patron. C’est contre l’ordre naturel. Une souris n’attaque pas un lion. Et on ne bute pas un patron. Salut. Salut. J’ai failli ne pas venir à notre rencontre mensuelle. Je peux avoir un verre d’eau ? J’ai appris que le lauréat des maquereaux et des ordures serait présent au procès du siècle. J’y serai pour le verdict. Je n’ai pas besoin de regarder Gotti s’amuser avec vous. Tu as l’air épuisé. Tu devrais peut-être arrêter, écrire un livre. Tous les journalistes n’ont pas un roman enfoui quelque part en eux ? Je n’ai pas envie d’écrire un roman. Je cherche un marsupial en six lettres. Ça va peut-être te remonter le moral. C’est quoi ? C’est quoi, ça ? C’est incroyable. Tu reconnais ce type ? Bobby B ? C’est quoi ? Que se passe-t-il ? Deux gosses ont cambriolé deux clubs. Ils entrent avec un Uzi et nettoient la pièce. Qu’est-ce qu’ils peuvent faire, appeler la police ? Qui fait ça ? Je te l’ai dit, deux gosses. Qui ? Des gosses du coin ? Oui. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Aucune idée. Un gars et une fille. Une fille ? Elle conduit. Il porte le flingue. C’est magnifique. Pourquoi en sous-vêtements ? Que se passe-t-il ? Je ne sais pas. Ils ont peut-être pris leurs pantalons. Je fais ça depuis ans. Je n’imaginais pas que la Mafia portait des caleçons. Heureusement qu’ils en ont. C’était incroyable. Il faut le tuer, le buter. « Un souris n’attaque jamais un lion. » Je vais utiliser ça. Le mettre sur le tableau. Passe-moi une cigarette. Une souris. Je ne suis qu’une souris. Moi un lion. Dégage. Je ne peux pas t’attaquer. Ce qui est dingue, c’est que tout a commencé avec Giuliani. C’est lui. Qui était italien. Un Italien qui descend des Italiens. Ça demande du courage. Ne jamais s’en prendre à la famille. Mon rédacteur en chef va aimer ça. Mais tu ne les auras pas. Tu veux un article ou pas ? Je t’ai donné l’article. Mais pas ces photos. Elles sont classées. Perds-en une. Il me faut une photo. Pour faire la une, il me faut une photo. Tu es écrivain. Peins la photo avec tes mots. Non. Personne ne va croire mon histoire. Même en voyant la photo, je n’y crois pas. Il me faut une photo. Si tu veux la une, il faut une photo. Regarde ça. Ça vaut de l’or. D’accord. Tu peux en prendre une. Mais je veux la une. Compris. Tu l’as fait exprès ? Tu m’as fait promettre la une. Je ne t’ai rien promis. Ces gars sont psychotiques. Il faut les interner, pas les mettre en prison. Et ces noms, Big Al et Fat Tony. C’était quoi, le club ? Le club Waikiki ? Le Waikiki. Vous avez dit que c’était où, déjà ? En Asie ? Il a dit en Asie. En Chine ? Non. C’est un état des États-Unis. Elle est bonne, celle-là. On ne vit pas dans les mêmes États-Unis. Il était où, ce club ? Sur la e. Avenue ? J’hallucine ! C’est un braquage. Il a dit quoi ? J’ai dit que c’était un braquage. Un braquage. Je veux toute votre oseille. On n’a pas d’oseille ici, c’est un bar. Je ne parle pas d’herbes pour mes pâtes. Je veux votre fric. Je veux votre fric. Allez. Tout. Oui, oui. Mettez tout jeux Récupérez tout. Mettez tout jeux Papy, où tu vas comme ça ? Par ici. Je n’ai rien. Ah oui ? Et c’est quoi, ça ? Bien essayé, le vieux. Bien essayé. Tu n’as rien. Je garde le portefeuille. Prenez l’argent. J’en ai besoin. Tu ne l’auras pas. S’il vous plaît. Prenez l’argent. C’est pour mon foie et ma prostate. Vous voulez mes fausses dents ? Ma femme m’a donné ce portefeuille. Elle vous en offrira un autre. Elle est morte. Ayez un peu de cœur. Et j’ai besoin de la carte de bus. Si tu lui laisses sa carte, je veux la mienne aussi. Il faut être juste. Personne n’aura sa carte de bus ! Allez, petit. Tu as l’air d’un gentil gosse. S’il te plaît. Je vais devenir fou. Quelle couleur ? Noir. Tiens, ton portefeuille. Il est marron. Noir ! Attends. Je l’ai. Voilà ton portefeuille. Prends l’argent. Je le prends. C’est quoi ça, cinq dollars ? Prenez-les, mais pas le portefeuille. Je n’ai pas le temps pour vos conneries ! Je n’ai pas le temps. Je dois y aller. Enflure ! Viens-là, petit con ! Hé ! Laisse le portefeuille ici. Il sait encore cogner.