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Radio RCF Puy de Dome 91.6 FM

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de Fiorello sur Long Island. Tu ne faisais pas ces boules de riz assez vite. La vie était différente avant. Avant, je ne pensais qu’à monter ma propre affaire, m’occuper de ma famille. Mon Bobby venait juste de naître. Ça fait huit ans, Sal. Ça fait huit ans qu’ils m’ont pris mon petit. Qu’il repose en paix. Ça a tué ma femme. Il faudrait qu’on parle de jeux TROUVE Tue Pas aujourd’hui, Sal. Les aigles ne traquent pas les mouches. Ils les effraient. Tu es sûr ? Oui, j’en suis sûr. Je l’aime beaucoup. Il est beau. C’est une belle pièce. Il te plaît ? Oui. Combien ? Avec les taxes, je pourrais vous le laisser pour . ? C’est une bonne affaire. ? Pourquoi pas ? Non. On fait un échange ? Qu’avez-vous ? Voilà ce que j’ai. Où avez-vous eu ça ? Mon père me l’a laissée. Votre père ? Oui. Bien. Non, merci. « Non, merci » ? Comment ça, « Non, merci » ? Ça ne m’intéresse pas. Merci. De quoi vous parlez ? Écoutez. Vous savez que ça ne vient pas de votre père. La prochaine fois, trouvez mieux. Vous vous moquez de moi ? Parce que cet endroit est réglo ? Tout est réglo ici ? Sortez-le. Ne la regardez pas. Ne la regardez pas ! Sortez d’ici. Allez vous faire voir ! Attrape ce gars. Regardez ça ! Ils ont marqué la ligne ! Ce touchdown m’a coûté ! Dom, il y a un carton dans le jeu ! Regarde ça ! Un carton ! Ils reviennent ! Écoute-moi jeux Je ne connais pas l’arbitre, promis jeux C’est un braquage ! Mais il a mon consentement. Hé ! C’est un braquage ! Vous voulez quoi ? Il a poussé ce type ! Hé ! C’est quoi ce bordel ? Merde ! Hé ! Écoute ! C’est quoi ? Un braquage ! Voilà ce qui va se passer. Je veux vos chaînes. Vos montres. Vos bagues. Votre fric ! C’est quoi ce bordel ? Je veux votre premier né ! Tu sais à qui appartient ce club ? À qui il appartient ? C’est mon club ! Voilà à qui il appartient. C’est mon club, aujourd’hui ! Tu commets une grosse erreur, je te préviens. Mon Dieu ! Merde ! Tu crois que je plaisante ? C’est une mitraillette ? Le rital, prends le bol de spaghetti. Prends-le ! Prends-le et pose-le sur la table. Tout le monde se calme. Pose-le sur la table ! Si tu veux. Le fric dedans ! Je ne plaisante pas. Il les braque ? Tout. Vos chaînes ! Donne-moi ça. Tout ! Merde. Tu fais quoi ? Tu te crois où ? En vacances ? Tu crois que c’est une bonne idée ? C’est une idée géniale. Tu sais pourquoi ? Parce que je suis , voilà pourquoi ! La chaîne ! Inutile de blesser quiconque. Viens par là. Par là ! Viens par là ! Doucement. Vas-y. Tu as tout. Tu as tout. Prends-le et dégage. On fait ce que tu voulais. On ne joue pas les cow-boys. Voilà ce que vous allez faire. Vous allez tous vous déshabiller. Quoi ? Vous enlevez vos vêtements ! Tu commets une grosse erreur, là ! Déshabillez-vous, allez ! D’accord. Enlevez tout ! Allez ! Ils vont le tuer. Ils vont lui couper les couilles, et les mettre dans ses oreilles. Il va avoir des couilles d’oreilles, ce gamin. Ils vont le prendre en photo et le tuer. On a prévenu les flics. Quoi ? On les surveille. Qui a appelé les flics ? ! Tout ! Tout sur la table ! Allez ! Recule. Tu es trop près de moi. Tu es trop près de moi. Qui t’a acheté cette merde ? Ta femme ? Très bien. Ça, c’est pour Frank Uva. Il sort. Prends-le en photo. Qui a un flingue ? Vas-y ! Prends une photo ! L’appareil doit être mort. Pousse-toi de là. Tu notes tout ça ? Je vais le faire. Sept, huit, neuf, dix ! Vingt-cinq ! dollars en liquide sur cette table, sans compter l’or et l’argent. Ça fait beaucoup d’argent. Je sais. GOTTI JOUE À CHASSE-TAUPE John a enfreint toutes les règles en faisant ça. Vous imaginez ? Il porte des beaux costumes. Il se pavane en ville comme une vedette de cinéma. Il se promène avec le patron dans la rue. C’est sa faute. Il va détruire la Mafia, John. S’il ne nous faisait pas passer pour une bande d’idiots, ces deux gosses ne faucheraient pas nos clubs. Ils courent toujours ? Oui. Vous vous la coulez douce ? Avec John en procès, et toute la ville qui attend le verdict. On est dans une situation délicate. On est dans l’embarras. Si tu m’avais laissé faire quand c’était le moment, on ne serait pas dans l’embarras. Et alors quoi ? Tu veux du sang sur les mains ? Sur mes mains ? Je t’en prie. Un usurier qui sort de son vieux bistrot Waikiki. Un usurier ? Je prête de l’argent. Un pourcentage à la semaine. C’est Sammy the Bull. % par an. C’est la balance. Au taux de carte de crédit. On peut dire ça. Certains prennent , %. C’est beaucoup trop. Les gens ne peuvent plus rembourser. Il se passe quoi s’ils ne remboursent pas ? S’ils ne remboursent pas ? Ils n’ont pas le choix. Je leur ouvre le crâne avec une batte. Sal, je n’étais pas censé être celui que je suis devenu. J’avais mon propre fourgon, je vendais des boulettes de riz pour vivre. Tout le monde me conseillait d’ouvrir un restaurant. Mais où trouver l’argent pour en acheter un ? Je ne pouvais déjà pas payer mon loyer. Mais un jour, on m’a demandé de faire une livraison. Je me suis dit pourquoi pas. C’était sur mon chemin, j’y suis allé. Il m’a tendu une enveloppe en papier kraft. Avec cette livraison, j’ai offert un vélo à mon fils. Très vite, je déposais des enveloppes dans tout Long Island. Mais un jour, l’enveloppe était moins remplie. en moins. Tout le monde m’a accusé, car je conduisais un fourgon et je vivais de boulettes de riz. Qui ? Personne ne l’a su, Sal. Qui les a pris ? C’était Tony Vella. Tony Vella ? Tony Vella qui dirigeait tout le North Shore ? J’ai été le voir. Très vite, Tony Vella ne dirigeait plus le North Shore. Il ne dirigeait plus rien. Attends une minute, Al. Tu veux dire que tu as tué Tony Vella ? Ce connard m’a fait passer pour un idiot. Je me suis dit que j’allais le punir de la part des autres. J’avais quitté le bureau la queue entre les jambes. Je voulais prendre soin de ma famille, Sal. Et j’ai eu ce coup de fil. Les gars sont venus me chercher, ils m’ont enfermé. J’ai cru qu’ils allaient me tuer. Oui, tu avais tué un gars de la Mafia. Ils m’ont enfermé dans une pièce. Tu parles de jeux De notre patron. Apparemment, Tony Vella piquait dans la caisse depuis des années. Alors, il était reconnaissant. Il a pris soin de moi, Sal. Il m’a offert un prêt.